Rare vue vers le sud de l'actuel boulevard de la plage, ici en septembre 1933, qui, en longeant la côte, part du village de l'Herbe et mène à la villa Algérienne. Au deuxième plan, on distingue nettement le débarcadère de la villa Algérienne construit par Léon Lesca.
Le village de l'herbe photographié, probablement du haut de la dune de l'Herbe, par le photographe Palois Jean Jové (1876-1957). La villa Algérienne est dans notre dos tandis que le village du Canon est en face.
Le village de l'herbe photographié par le photographe français Jean Jové (1876 - 1957). Au deuxième plan, le vapeur Courrier du Cap avec ses atours du 14 juillet.
Moment de détente à l'ombre de la treille : la mère fait de la reprise tandis que la fille s'exerce sur sa poupée. A noter que cette carte postale possède au verso un tampon signalant la collection "La douce France, les charmes de la côte d'Argent" de l'éditeur Yvon.
Femmes du village de l'Herbe qui portent la fameuse benèze (ou Bénaise), la coiffe des femmes du Bassin d'Arcachon et plus particulièrement des parqueuses d'huîtres même si les outils présentés ici sont plus adaptés au travail du bois. Remarquez les chaussons de type espadrilles à lanières qui permettaient d'enfiler des sabots sans se déchausser tout en restant bien au chaud (c'est d'ailleurs l'origine de nos pantoufles).
Sur l'actuelle avenue de l'Herbe et dans le prolongement de l'Hôtel de la plage se trouvait le Café Arcachonnais tenu au début du siècle par Jean Lacaze. C'est aujourd'hui les cabanes mitoyennes Radegonde et Douce Brise. Le débarcadère dont il est question sur cette carte n'est autre que l'ancien débarcadère de la villa Algérienne (aujourd'hui disparu).