A partir du début des années 80, ont arrête le traitement de la tuberculose pulmonaire au profit de la lutte contre les maladies respiratoire. Ce qui explique la construction de ce tout nouveau bâtiment octogonal toujours visible aujourd'hui. Du vieux sanatorium, ne subsistes que quelques granges, les bâtiments administratif, le réfectoire et le bâtiment du foyer des infirmières visibles à droite. Voir un montage personnel d'une vue aérienne de la Pignada entre hier et aujourd'hui. Face à nous, l'océan Atlantique.
Vue aérienne du tout nouveau bâtiment de la pignada de Claouey toujours là aujourd'hui. Du vieux sanatorium, ne subsistes que quelques granges, les bâtiments administratif, le réfectoire et le bâtiment du foyer des infirmières visibles à droite. Voir un montage personnel d'une vue aérienne de la Pignada entre hier et aujourd'hui. A gauche, le Bassin d'Arcachon.
La salle à manger du sanatorium "La Pignada" de Claouey. Sur les tables, carafe de vin rouge, orange et pain sont déjà installées. La soupe est aussi prévue dans des assiettes en céramique blanches résistante aux chocs thermiques et physiques. Les femmes sont toute habillées de manière identique avec tabliers blanc et chemise manche courte de couleur sobre. Par rapport à la carte de 1926 (carte n°1288), il n'y a plus de bouquets sur les tables et les cheminées ont été enduites et leur décor de faillance enlevé. Avec zoom, ont voit que des portes manteaux (ou porte serviette) ont été installés dans le demi cercle du foyer. On voit même quelques chaises empilées dans celle de gauche. Les cheminées ne sont donc plus utilisées. C'est beaucoup plus sobre qu'en 1926, moins gai et plus fonctionnel. Nous sommes donc bien au début des années 1960.
Vue aérienne du sanatorium "La Pignada" en 1955. A droite et juste derrière l'entrée, les deux bâtiments administratif et derrière, le foyer des infirmières suivit de la grande galerie de cure nord avec ses chaises longues. Dans le prolongement de la galerie, les dortoirs et le petit bâtiment des lavabos. Il fait beau, les draps sont étendus pour sécher. Au centre, l'allée couverte qui mène au long bâtiment du pavillon des malades avec des lits sur roulettes que l'on sort par beau temps sous la galerie de cure attenante. En haut à droite, sur le toit d'un bâtiment, on distingue la large cheminée des cuisines et du réfectoire. Le petit château d'eau est caché dans les pins. En bas de carte, la route de Bordeaux. Pas beaucoup de voiture à l'entrée de Claouey... Cela a légèrement changé depuis!
L'allée couverte de la Pignada qui mène au long bâtiment du pavillon des malades avec des lits sur roulettes que l'on sort par beau temps. A droite, la grande galerie de cure nord avec ses chaises longues et le foyer des infirmières.
Le sanatorium "La Pignada" à l'entrée de Claouey (quartier Jane de Boy). Par beau temps, les lits sur roulettes étaient poussés hors des chambres sous la véranda afin que les malades puissent profiter du soleil.
Le sanatorium "La Pignada" à l'entrée de Claouey comportait deux galeries de cure : la petite galerie Nord que l'on voit ici et la grande galerie. Les malades étaient étendus sur des chaises longues face au soleil. Remarquez le réservoir d'eau visible derrière le bâtiment.
Les pensionnaires du sanatorium "La Pignada" alignés sous la galerie de cure. Au fond, le bâtiment du foyer des infirmières. La photo est signé Yobled qui est un anagramme qu'utilisait parfois le photographe bordelais Marcel Delboy.
L'autel de la petite chapelle du sanatorium "La Pignada" de Claouey. Remarquez à droite, l'autel dédié à la Vierge Marie et à gauche, le drapeau français avec le sacré cœur de Jésus.
Au premier plan, le foyer des infirmières (toujours là aujourd'hui mais réaffecté en bureaux) et la galerie de cure aujourd'hui disparue du - déjà - ancien pavillon. Après les soins du matin et le déjeuner, les pensionnaires du sanatorium prennent un peu l'air sous la grande galerie de cure où l'expéditrice a marqué d'une croix son emplacement. Au deuxième plan, le bâtiment du réfectoire avec la cheminée des cuisines. A sa gauche, on devine le château d'eau dans les pins.