Ferret d'avant présente ma collection personnelle de 2204 cartes postales anciennes de la presqu'île de Lège-Cap Ferret
Collection personnelle de 2204 cartes postales anciennes de Lège-Cap Ferret
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51 résultats pour l'éditeur n°10 : Cim Combier Imprimeur Mâcon - Jean-Marie Combier (1891-1968), photographe à Mâcon, la ville ou sont imprimées les cartes postales (voir le Logo au fil du temps) - Plus d'infos sur Cim
La villa Sylvosa du docteur Fernand Lalesque, spécialiste mondial de la tuberculose (voir les excellentes Chroniques de l'Iboga, site de son arrière petit fils, François-Xavier Bodin). Cette villa est dotée d'une construction en bordure de plage servant de remise de matériel nautique. Sur le dessus, un kiosque abrité permet de suivre les régates et de contempler le bassin - un belvédère privé en quelque sorte.
La première croix des marins érigée en avril 1868 à la Pointe du Cap Ferret en souvenir des naufragés de 1836 (78 disparus). Si elle n'avait pas été déplacée sur le parvis de l'église du Cap Ferret, cette croix serait aujourd'hui au bord de l'eau alors qu'une grande plage est bien visible sur la carte. Notez le rare tampon ovale et rouge du restaurant de Georges Roux.
Carte en fausse couleurs du boulevard de la plage et de la chapelle du Cap Ferret Notre Dame des Flots avec sa nouvelle façade et son porche d'entrée surplombé par un clocheton (voir l'article L'église du Cap Ferret Notre Dame des Flots fête ses 50 ans). Au sol, les rails du tramway à tracteur Bélisaire / La Pointe Océan. La place devant la chapelle est déjà là. Cette place est depuis 2011 la place Michel Martin, un des entrepreneurs ayant participé à la construction de la nouvelle église entre 1956 et 1966 sur l'initiative de l'abbé Marquaux. Elle est réaménagée début 2015.
Une des dernière carte postale du phare de Cap Ferret avant qu'il ne soit détruit en août 1944 sur ordre de l'armée allemande. A noter que cette carte postale est issue d'un carnet (voir petites hachures en haut).
La ligne Bélisaire/Lavergne/La Pointe Océan possédait deux voitures baladeuses de 18 places assises qui étaient utilisées pour la liaison Bélisaire/Lavergne. Une plus grande voiture de 30 places assises que l'on voit ici, faisait uniquement l'aller/retour entre le restaurant Lavergne et l'Océan (Source: Luc Dupuyoo - Les petits trains du Cap Ferret - Ed. confluences 2007). Notez que sur la photo, le tracteur à toujours son volant, ce qui ne devrait pourtant pas être très utile sur des rails. On reconnait derrière la voiture, le restaurant Lavergne et derrière le tracteur un bateau-ponton qui servait, à l'époque, d'habitation. La carte est datée du 1er septembre 1936 mais la photo est très certainement antérieur à 1934, année de la fin des premiers tramway qui ne résisteront pas à l'arrivé de la voiture. Il faudra attendre 1952 pour que Jacques Milet, passionné de chemins de fer, ne relance la fabuleuse aventure du petit train du Cap Ferret.
La foule du mois d'août sur la plage et la promenade de Bélisaire au Cap-Ferret quelques jours avant que l'Allemagne n'envahisse la Pologne et ne déclenche le début de la Seconde Guerre mondiale. On aperçoit au fond le bâtiment du Chemin de Fer du Midi.
Sur la route de la plage océane du petit train, le Grand Hôtel de la Mer dans les années 1940 avant agrandissement. La villa "La Méralenne" (Garage Antar) n'est pas encore construite. L'hôtel est rasé en 1999.
Nous sommes sur le boulevard de la République, de dos à Arès et juste avant le rond point central d'Andernos. Face à nous, l'ancien Casino d'Andernos avec son café accolée à l'ancienne poste. Le casino et son café sont depuis 2008 une résidence. La poste à laissée la place à la pharmacie du centre (pharmacie de la rocade) pour s'installer dans le passage du parc (entre av. du Gal de Gaulle et av. Pasteur) puis sur son emplacement actuel (av. de Bordeaux). D'après le livre de Claude Perreaud et Gérard Simmat (Andernos-les-Bains Métamorphoses - Ed. Michel Fontaine éditeur 2010) : «Vers 1920, Monsieur Laroque, maire de Saint-Médard, décide d'investir à Andernos dans une prairie jouxtant la deuxième poste, construite en 1905. Il fait bâtir trois pavillons accolés, en bois, recevant à l'étage des chambres, et, au rez-de-chaussée, une salle de balle, un café restaurant et sur la gauche, un cinéma parlant, qui sera le premier vrai cinéma d'Andernos. »
Commentaire de Laurent J. en décembre 2023 : «j'arrive à voir une pub pour l'apéritif Lillet qui à l'époque n'était distribué que localement... Mais impossible de déterminer l'emplacement de ces courts.» Effectivement, sur le bâtiment noir avec le toit en tôle, on distingue une publicité pour les apéritifs Lillet. Merci Laurent.
__________________ Note : Les passes d'Arcachon figurent parmi les entrées les plus redoutées des côtes de France. Le nombre moyen de jours où la passe est impraticable s'élève à environ 50 par an mais varie fortement selon les années. La difficulté, ou l'impossibilité, d'entrer dans le Bassin contraint parfois les navires de pêche à débarquer leurs prises dans d'autres ports, français ou espagnols.
Photo aérienne du port ostréicole et de la plage de la croix de Claouey (au fond). Au centre de la photo, avec sa terrasse sur pilotis, le restaurant Chez Olivier. A droite, le long bâtiment des cabanes d'ostréiculteurs. A noter que le futur Club Nautic sera construit à l'emplacement des cabanes visibles derrière Chez Olivier. La cale de mise à l'eau n'a, par contre, pas bougé.
Vue d'avion du carrefour du Pavillon Bleu (de dos) avec, en face, le garage, la pâtisserie Lune de Miel, l'agence immobilière Cheyroux et le Grand Hôtel de la Mer en 1948 (la nouvelle aile du Grand Hôtel viens d'être construite). Remarquez qu'il n'y a pas encore au sol les rails du petit train. La ligne actuelle du tramway ne sera construite par Jacques Milet qu'en 1952. Remarquez aussi le garage Antar à gauche (futur villa La Méralenne) avec les pompes à essence ronde à portes de type SATAM. A gauche en haut de carte, on distingue le toit de l'Hôtel de la Côte d'Argent qui n'ouvrira jamais.
Départ de Bélisaire pour Arcachon du Courrier du Cap II (mis en service en juillet 1931). Ce bateau vapeur, 2ième du nom, se caractérise par rapport à son prédécesseur par son pont supérieur accessible par un petit escalier en bois, ses cabines et ses deux bouches d'aération derrière la cheminée. Malgré sa grande taille, le steamer refuse de la place : des passagers sont assis dans le canot de sauvetage :-)
Face à la plage du centre, l'ancienne place du centre, la place fut baptisée en 1980 place Walter Reinhard, maire de la ville de Sandhausen en Allemagne entre 1954 et 1981. Avec le maire Robert Cazalet (1924-2012), il est à l'initiative du jumelage entre nos deux villes en 1980. Face à nous, le château d'eau n'est pas encore là et l'animateur de télévision Pascal Bataille et son épouse Adra n'ont pas encore transformé la villa Eglantine en hôtel (Côté Sable ouvrira en 2007). La place du marché est encore un petit bois mais, par contre, le café du Centre est ouvert !
Ce carnet, réalisé par l'éditeur CIM, contient dix cartes postales du Cap-Ferret détachables en noir et blanc à bords dentelés (voir le verso et l'intérieur de ce carnet). Chaque carte postale est proposée avec une vignette détachable de la même vue. Ce carnet contient notamment les cartes postales n°1092, 1405, 387, 1027 et 224.
Vue aérienne du nouveau phare du Cap Ferret. On aperçoit l'école, la poste, l'hôtel Plume au vent pour les ouvriers du journal Sud-Ouest, le premier étage de la dégustation Le Mascarret et le bâtiment blanc de la station service du Phare créée par Jean Dupin qui devient en 1952 le garage Citroën des frères Galland (Roger et Raymond) remplacé en 1991 par un hôtel-résidence. Notez que le château d'eau n'est pas encore construit.
Même carte postale que celle de 1949 mais cette fois-ci en fausse couleur avec une vue depuis l'embarcadère Bélisaire du départ pour Arcachon du steamer Courrier du Cap II (mis en service en juillet 1931). Ce bateau vapeur, 2ième du nom, se caractérise par rapport à son prédécesseur par son pont supérieur, ses cabines et ses deux bouches d'aération derrière la cheminée. Malgré sa grande taille, le steamer refuse de la place : des passagers sont assis dans le canot de sauvetage :-)
Le petit train "moderne" du Cap Ferret devant le Pavillon Bleu (Ligne Bélisaire - Océan créé par Jacques Milet en 1952). Un des passagers vérifie si le petit train ne déraille pas dans le virage (problème fréquent). Remarquez sur le toit du petit train, la publicité pour les maillots de bain de Germaine Ollagne : "Le plus grand choix de province".
Rare vue en direction du sud depuis le centre de Lège. On reconnais l'avenue du Médoc bordée de platanes avant que la maladie du chancre coloré (un champignon) ne les fasse disparaître. Au pied de l'église Saint Pierre, on aperçois
les deux battisses en angle du café Villetorte (actuelle Poste) et le long de l'actuel avenue de la gare, on retrouve la petite maison en enfilade de l'épicerie Darrouze (aujourd'hui un parking pour voiture électrique). A l'angle de l'avenue de la gare et de l'avenue du Médoc, l'Hôtel Goubet (actuel Chat Toqué et tabac presse) avec, en face, le monument aux morts sur son ancien emplacement. Face à l'église, l'ancienne grange Goubet qui disparaîtra au profit de la nouvelle Mairie
La pinasse Marie-France au départ de la jetée bélisaire au Cap Ferret dans les années 1950. C'est la pleine saison; pas moins de 24 personnes sont visibles. Face à nous, la côte d'Arcachon.
Vue depuis la route de Bordeaux (D106) des villas des Jacquets dont la villa La Musardière et la villa Cottage. A gauche l'avenue des Tamaris et un peu plus loin à droite, l'avenue du Capitaine Buer. On peut lire, au dos de cette carte un vrai témoignage de l'ambiance de l'époque : « Ci-joint croquis de la façade blanche et marron de notre villa. Les chambres sont derrière. Le seul hic c'est qu'il n'y a pas d'eau sur l'évier mais la pompe est à la porte de la cuisine et pour 2 mois, c'est amusant. Le boucher, le boulanger, le laitier passent à notre porte. Il y a un épicier qui est un vrai comptoir colonial où on trouve de tout depuis l'abonnement de lecture, l'alimentation, les fleurs, les produits de beauté, l'habillement etc. Venez voir ça. Gilberte »
Villas Fleur des Dunes, L'Oustaou, Les Mouettes, Cyrnos et Le Nid
La plage centrale du Cap Ferret avec les villas Fleur des Dunes, L'Oustaou, Les Mouettes, Cyrnos et Le Nid. Le nouveau phare du Cap Ferret est visible à gauche. Carte postale à comparer avec la carte précédente de 1930.
Vue depuis l'avenue nord du phare en regardant vers le sud en 1950. Face à nous, le croisement de la rue des Goélands et, au bout, la rue de la poste. Sur notre gauche, la villa Phuanoise, qui, comme on le voit, est une des premières villas de cette avenue. Cette villa Phuanoise est miraculeusement toujours là aujourd'hui, parfaitement conservée. Sur le panneau sur le pin à gauche, on peut lire : Hôtel La Forestière - Thé - Restaurant.
Le rond point de l'Hôtel de la Côte d'Argent qui n'ouvrira jamais faute de client. Il deviendra la boucherie Marian (que l'on aperçoit au rez de chaussé de l'hôtel), l'épicerie "Chez Cocotte", un vidéo club et enfin le bistrot L'Etale tenu par Daniel et moi à partir de 1992. Après le "bistrot L'Étale", "Le Tamaris" puis le "Blue Lagon" prendrons la suite. L'immeuble a été reconverti ensuite en habitation.
Vue sur le port de Piraillan depuis le quai Deschamps. A droite, la villa sur pilotis Lou Pitey (Pitey veut dire perchoir en Gascon). Devant la villa, on remarque une plate avec une petite cabane construite comme les anciens ponton. Remarquez que les deux îlots au centre du port de Piraillan ne sont pas encore construits.
Le café du port de Claouey (Chez Olivier) qui faisait aussi dancing. Voir un agrandissement du store banne qui montre aussi que le café était sponsorisé par une marque de bière dont les publicités mythiques ont marqué l'imaginaire national.
A gauche du Grand Hôtel de la Mer, l'agence immobilière Cheyroux du "Lotissement du Cap Ferret" (Vente de Terrain). A la place de l'agence immobilière Cheyroux s'installera une banque (avec un - si rare à l'époque - distributeur de billet) qui sera elle même remplacée par l'entreprise de conception et vente de cuisines puis par le magasin Hoalen Ocean Store d'aujourd'hui.
Vue aérienne de la villa Les Hirondelles (à droite sur la carte) et de la plage du même nom en 1953. La villa des Hirondelles sera édifiée vers 1880 par Frédéric Lesca (frère de Léon). Elle sera notamment habitée par Berthe Roland, fille d'Arthur Lesca. Elle fut longtemps, avec la villa Algérienne, un des points de rencontre de la famille Lesca. Au deuxième plan, le débarcadère de Grand-Piquey et l'hôtel Bellevue.
Vue aérienne des années 1950 de la plage des Jacquets et, au deuxième plan, de la Joncquière. On aperçoit la route du Cap-Ferret derrière les réservoirs à poissons encore vierge du petit bois de pins qui masque aujourd'hui la route.
La photo est prise face à l'avenue de la Conche du Cap-Ferret (quartier des pécheurs). En bas, on aperçoit les tennis de la célèbre pension de famille La Brise dont on voit le toit à gauche et qui donne son nom à la rue : la rue de la Brise. A droite et en bas de l'avenue de la Conche, face au tennis, on remarque un terrain vide en forme de presqu'île. Il s'agit de l'ancien camping de la Brise qui sera vendu en parcelle à des particuliers. Voir en détail cet ancien terrain de camping.
Arrivé du petit train, à l'océan (plage de l'Horizon). Remarquez la petite cabane blanche au fond avec l'inscription "FNS" pour "Fédération Nationale de Sauvetage" qui est le tout premier poste de secours des M.N.S. du Cap Ferret (Maîtres-Nageurs Sauveteurs). Voir aussi la carte n°362.
Vue d'avion en 1954 de l'agence Immobilière Cheyroux, du Grand Hôtel de la Mer et du Pavillon Bleu. Une nouvelle aile viens d'être rajoutée au grand Hôtel, les affaires marchent.
Vue aérienne de l'entrée sud du bourg de Lège (croisement du quartier Ignac). A partir du bas de la carte et au premier plan à droite, on aperçoit le lavoir (toujours là aujourd'hui). On voit le logo de la station d'essence BP et le bâtiment du restaurant "Chez Patate" (qui deviendra une discothèque, aujourd'hui, c'est un terrain vide). La villa blanche (l'ancienne boucherie Despujol) qui fait l'angle est toujours visible aujourd'hui. A l'arrière plan on voit l'imposant château d'eau de Lège (dit "Le Toblerone", allez savoir pourquoi :-) qui était à l'emplacement de l'entrée de l'actuel stade municipal Louis Goubet de Lège Cap-Ferret (inauguré en 1997) juste derrière l'ancienne poste. En bas de la carte, remarquez les publicités pour les marques Lilet et Ricard en bord de route!
Vu aérienne du village de l'Herbe dans les années 50. Remarquez que le débarcadère de la villa Algérienne est visible en haut à gauche de la carte postale.
La distribution d'eau potable au Cap Ferret est assurée le 1er avril 1957 par 30km de canalisations desservies par ce château d'eau de 49m de haut et de 500 000 litres alimenté par une batterie de forages profonds. La Société nouvelle du Cap Ferret, qui avait en charge la viabilisation et la vente des lotissements, remet le réseau d'eau à la Compagnie générale des eaux le 6 juin 1967 [Source : Bulletins de la SHAA - Livre n°1]. A noter qu'il sert aussi de relais antenne aux opérateurs de téléphonie, se qui peut parfois créer quelques frayeurs.
Vue aérienne du quartier Bélisaire avec, de droite à gauche, la dégustation Chez Louis (futur restaurant L'escale), la villa Beau Rivage (futur restaurant Pinasse Café), le restaurant Chez Villenave (ex restaurant Bélisaire), le nouveau débarcadère (en fer) et l'hôtel restaurant Las Delicias.
Au milieu de l'été Ferretcapien, rien de tel qu'un moment de détente sur un banc à l'ombre des pins de Bélisaire. Nous sommes devant la jetée du Cap Ferret à côté de l'actuelle promenade Jean Anouilh devant le restaurant Pinasse Café. Face à nous, avec sa publicité pour la liqueur de gentiane, la gare de Bélisaire.
Vue vers le nord de la plage du Cap-Ferret au niveau de La Forestière. Villas de bas en haut : La Frégate (dont on apercoit le balcon), Bethi Gochoki (du Basque l'endroit tranquille), Les embruns, Rose des sables et Atlantis (avec sa terrasse son petit étage blanc). Toutes ces villas sont toujours là aujourd'hui visibles depuis la plage et certaines particulièrement bien entretenue. Tout en haut, le débarcadère de Bélisaire et bien sûr, le Bassin d'Arcachon.
A l'ombre des pins sur le banc de Bélisaire au Cap-Ferret, face au débarcadère. Nous sommes de dos au restaurant Chez Villenave (ex Chez Bélisaire et futur Pinasse Café).
Vue aérienne en fausse couleur de la plage du phare en 1955. Au centre et en deuxième ligne, on distingue la villa La Lorraine encore en construction avec des échafaudages sur sa façade et le toit qui n'est pas terminé. Sur la droite de la carte, une partie des bâtiments, le portail d'entrée et le parc de l'hôtel restaurant La Forestière qui sera détruit en 1980. Face à nous, le nouveau phare reconstruit en 1946. Au pied du phare, avec son toit rouge, la villa La Cigale de la cantatrice Marie Boyer. Remarquez à droite et en bas, on distingue le petit réservoir d'eau de la villa Les Embruns. Ce réservoir est encore visible aujourd'hui en se tenant de dos à la Forestière. A gauche et encore en friche, le futur terrain de boule du Mimbeau ou viendra parfois jouer Lino Ventura... Voir cette carte postale dans l'actualité n°232 de mars 2022.