Vue vers l'église Saint Pierre de Lège depuis l'actuelle avenue de la poste. Face à nous l'ancienne grange aujourd'hui occupée par le rugby club de la presqu'île et à droite, un champ qui deviendra le stade de rugby.
En 1877, pour séparer les sexes, une école des filles est construite dans la cour de récréation (désormais de l'autre côté de la route) de l'école des garçons qui étaient dans l'ancienne mairie.
L'école des filles est au deuxième plan. Nous sommes avenue de la Mairie à Lège centre. Les salles d'asile, créées en 1826, sont au début de simples garderies pour les enfants des femmes qui travaillent. Elles sont dotées peu à peu d'objectifs pédagogiques plus ambitieux et deviennent des écoles maternelles en 1881 [Source : Gallica.bnf.fr]. Cet asile de Lège abritait depuis 1992 l'école de musique municipale de Lège-Cap Ferret (direction Julien Michel depuis 2010). C'est le 21 juin 2024 qu'elle déménage dans ses nouveaux locaux juste derrière l'église (voir le panneau d'inauguration)
Rare vue en direction du sud depuis le centre de Lège. On reconnais l'avenue du Médoc bordée de platanes avant que la maladie du chancre coloré (un champignon) ne les fasse disparaître. Au pied de l'église Saint Pierre, on aperçois
les deux battisses en angle du café Villetorte (actuelle Poste) et le long de l'actuel avenue de la gare, on retrouve la petite maison en enfilade de l'épicerie Darrouze (aujourd'hui un parking pour voiture électrique). A l'angle de l'avenue de la gare et de l'avenue du Médoc, l'Hôtel Goubet (actuel Chat Toqué et tabac presse) avec, en face, le monument aux morts sur son ancien emplacement. Face à l'église, l'ancienne grange Goubet qui disparaîtra au profit de la nouvelle Mairie
Multivue de Lège en 1972. En haut, à droite, on distingue très bien le château d'eau (surnommé le Toblerone :-) derrière l'ancienne poste de Lège. Le château d'eau a disparu et le bâtiment de la poste est aujourd'hui reconverti depuis 2017 en poste de police municipale. L'intersection visible en bas à gauche de la carte est celle de l'actuel rond-point de la boulangerie de Lège bourg.
Multivue de Lège-Bourg en 1982 avec l'ancien château d'eau surnommé le "Toblérone" (démoli en 2002). A noter, une très rare carte postale de l'ancien Camion Citerne feu de Forêt Moyen (CCFM) des pompiers de Lège. Cet half track semi-chenillé à été présenté en exposition dans une grande galerie d'un très grand centre commercial de Mérignac (voir des photos de cette exposition)
Vue - probable - depuis le haut du château d'eau de Lège bourg (surnommé le Toblerone - aujourd'hui détruit). Carte de 1995 : Le centre de Lège avec l'ancien emplacement du monument aux morts de Lège avant son déplacement devant l'église. Le café Goubet est visible à gauche du monument aux morts. Face à l'église,
la grange de la famille Gorry sera rasée pour faire place à la Halle de Lège et à la mairie. Au fond, les grands bâtiments marron clair de la scierie pour parquets et lambris Dabro et fils (ex usine Frugès). Derrière le clocher, la petite maison de l'épicerie Darrouzes et en bas de carte postale, le toit de la maison Chasseloup (actuelle bibliothèque municipale). Au pied de l'église, le café Villetorte n'est pas encore transformé en service des Postes
La maison Guerin (maire de Lège et boulanger) avec ses 14 portes et fenêtres en enfilade. Arnaud Guérin en fera une auberge face à la foire aux bestiaux qui se tenait à la place de l'actuelle caserne des pompiers. A l'arrière plan, l'ancienne cheminée de la boulangerie. Cette maison de l'avenue du Médoc est rasée en 2013 pour être remplacée par un lotissement.
Maison Garnung
La maison de madame Garnung que l'on aperçoit sur la photo en août 2012. Yolande Garnung, née Boy, nous a quittée en janvier 2019. La maison est toujours là aujourd'hui.
Photo personnelle de novembre 2016 (en attendant de trouver une carte postale). C'est Henry Frugès, le créateur de l'usine Frugès de Lège, qui fit construire par son ami l'architecte suisse Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier, les maisons ouvrières visibles avenue du Médoc à Lège. Ces six petites maisons, ainsi qu'un un bâtiment collectif dénommé hôtellerie-cantine et une placette avec un fronton de pelote basque constitues le premier lotissement conçus par Le Corbusier. Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques le 30 mai 1990.