Photo personnelle de l'entrée du phare du Cap Ferret en août 2020. A droite, collé sur le poteau, on peut voir un des poèmes réalisé par la street-artiste Nathalie Man
Photo personnelle du phare du Cap Ferret en août 2017. On aperçoit au dessus de la porte deux dates gravées dans la pierre : 1840 et 1947. 1840 correspond à la date à laquelle fut érigé le premier phare et 1947, celle ou fut construit ce second phare sur le même emplacement.
Le billet de zéro euro souvenir est inventé en 2015 par l'entrepreneur français Richard Faille et mise en vente sur les sites touristiques à 2 €. L'illustration du billet est déclinée en fonction de son lieu de vente comme ici le phare du Cap-Ferret. Ces billets sont prisés des collectionneurs pour leurs illustrations, leur diversité et les éléments de sécurité authentiques. Le record est un billet allemand, représentant le stade de Duisbourg, revendu 1000 € [Source: Wikipédia]
Le quartier du Phare du Cap Ferret vu d'avion en regardant vers le sud. A l'angle de la rue des Goélands, de la rue de la poste et de l'avenue Nord du phare, on aperçoit le bâtiment au toit gris du surf-shop "Le Beach Break" (ex étale de vente Au coin du Phare) qui deviendra le surf-restaurant Chez Nounours tenu par notre ami Patrick Villegente. En face, on reconnait l'immeuble à étage de l'hôtel du Phare qui devient en juin 1954 l'hôtel Plume au vent : la maison de vacances pour les ouvriers du journal Sud-Ouest. Plus à gauche, le toit du garage Citroën des frères Galland (Roger et Raymond) remplacé en 1991 par un hôtel-résidence. Encore plus à gauche, le toit (gris lui aussi) de la petite supérette Shopi de la rue des Goélands (rasée en 2013 pour un projet : Les villas du Phare). Au fond, la plage du Phare, le village de pêcheurs du Cap Ferret, le Mimbeau, la pointe Hortense, le Bassin d'Arcachon avec le banc d'Arguin et la dune du Pilat.
Le phare du Cap Ferret vu depuis l'avenue sud du phare en 1963. Le long de la route, on reconnait les voitures d'époque; une Panhard PL 17 et la Citroën DS 19 noir classique.
L'avenue sud du phare et le phare du Cap Ferret en 1962. Nous sommes au croisement de l'avenue de la douane et de l'avenue des Goélands et une seule villa est visible !
Vue depuis l'avenue nord du phare du Cap Ferret vers la poste et le phare. Sur notre gauche, la villa Phuanoise avec - probablement - sa propriétaire qui nous sourit (voir agrandissement). Carte à comparer avec la carte postale n°72 de 1950 ou les terrains vides d'antan sont aujourd'hui tous construits.
Vue depuis l'avenue nord du phare en regardant vers le sud en 1950. Face à nous, le croisement de la rue des Goélands et, au bout, la rue de la poste. Sur notre gauche, la villa Phuanoise, qui, comme on le voit, est une des premières villas de cette avenue. Cette villa Phuanoise est miraculeusement toujours là aujourd'hui, parfaitement conservée. Sur le panneau sur le pin à gauche, on peut lire : Hôtel La Forestière - Thé - Restaurant.
Véritable photographie sans date prise au Cap Ferret depuis l'avenue Sud du phare en regardant vers le nord. Le petit format de la photo et la marque du papier Ardex Crumière au dos, permet, après recherche, de dater cette prise de vue début 1950 car l'usine d'Emile Crumière de Flaviac cesse son activité en 1958. Face à nous, le nouveau phare du Cap Ferret (reconstruit en 1947-48). Sur notre droite, la villa Guy, qui, comme on le voit, fait partie des premières villas construites sur cette avenue. Cette villa Guy est toujours là aujourd'hui, visible à l'angle de la rue des Palmiers, parfaitement conservée.
Vue aérienne du nouveau phare du Cap Ferret. On aperçoit l'école, la poste, l'hôtel Plume au vent pour les ouvriers du journal Sud-Ouest, le premier étage de la dégustation Le Mascarret et le bâtiment blanc de la station service du Phare créée par Jean Dupin qui devient en 1952 le garage Citroën des frères Galland (Roger et Raymond) remplacé en 1991 par un hôtel-résidence. Notez que le château d'eau n'est pas encore construit.