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28 résultats pour l'éditeur n°29 :
LL
Léon & Lévy (Isaac, dit Georges Lévy et son beau-fils Moyse Léon), puis Lévy & fils (Ernest et Lucien Levy), éditeur parisien de 1864 à 1913 (44 rue Letellier). Fusionne avec les studios Neurdein en 1922 : Levy et Neurdien réunis.
Carte n°
LA-TESTE
vers 1900
> Grand-bancLe Ponton du Grand Banc
Le Grand Banc est un banc de sable qui se découvre à chaque marée basse. Il se situe au sud de l'île aux oiseaux. On y installait des pontons flottant afin d'éviter les nombreux allers-retours entre le port et les parcs à huîtres. Ces bateaux à fond plat étaient remorqués sur les bancs par des bacs à voile ou des pinasses à rames.> Editeur : LL
Carte n° 533
CAP-FERRET
vers 1905
> La-pointe/commerces/restaurant-lavergneDéjeuner devant Lavergne
Déjeuner sur un banc de sable de la pointe Lavergne. Détail typique : les deux assiettes d'huîtres posées sur la barque renversée à côté des pique-niqueurs. A l'arrière plan, on aperçoit les pontons d'habitations des premiers habitants du Cap Ferret et le bâtiment de la station du tramway à cheval créée en 1896 et qui permettait de faire l'aller retour entre le débarcadère côté bassin des restaurants Lavergne et Roux et l'océan. Avec l'érosion, aujourd'hui nous serions au milieu du Bassin en train de regarder la plage du quai des Courlis (actuelle plage de l'escalier). A noter que cette photo est prise le même jour, mais à l'opposé de la carte n°1336> Editeur : LL
Carte n° 2141
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1907

> La-pointe/pointe-lavergneLes pontons de la pointe
On trinque face au photographe devant les pontons de la pointe du Cap Ferret qui servaient d'habitation aux familles de pêcheurs. Installés le long de la ligne du tramway Lavergne/Océan, ces pontons leurs évitaient le temps de transport jusqu'au fond du Bassin dont venaient la plupart.> Editeur : LL
Carte n° 1272
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1909

> Village-de-pecheursCabane Victor Hugo
Le village du phare du Cap Ferret (premier du nom) au bord de la conche du Mimbeau en 1909. Remarquez la maison à étage Victor Hugo à gauche (que l'on retrouve dans la rue Sans nom)et la calèche à cheval à droite. Remarquez aussi la coiffe pas très locale. Nombreuse femmes originaire de l'île d'Oléron vinrent travailler dans les usines de conserves de sardines de La Teste [Source : Max Baumann - Livre n°3].> Editeur : LL
Carte n° 1336
CAP-FERRET
vers 1910
> La-pointe/tramway-lavergne-océanLes pontons de la pointe
Le long de la ligne de tramway hippomobile La pointe - Lavergne/Océan se trouvait nombre de bateaux pontons qui servaient d'habitation aux familles d'ostréiculteurs qui venaient depuis l'autre côté du Bassin (ceux d'en face :-) et leurs évitaient le temps de transport avec leurs pinasses à voile qui dépendaient totalement des caprices de la météo: vent force 7 ou calme plat [Source : Noël Courtaigne - Site Web n°10]. A l'arrière plan, la plage du quai des Courlis et la côte d'Arcachon. Remarquez au bord de l'eau, le groupe de personne avec le parasol : nous sommes le même jour et à l'opposé de la carte n°533> Editeur : LL
Carte n° 596
Carte n° 531
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1912

> La-pointe/commerces/restaurant-lavergneLe restaurant Lavergne
Le café restaurant du Cap Ferret Lavergne en 1912 avec sa grande clôture en fil de fer. Notez le panneau pour l'accès à la ligne de tramway hippomobile Lavergne/Océan.> Editeur : LL
Carte n° 1538
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1913

> Phare/vieux-phareAu pied du phare
Le premier phare du Cap-Ferret en 1913, alors dénommé le phare d'Arcachon.> Editeur : LL
Carte n° 889
Carte n° 587
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1916

> Bélisaire/bateaux/l-oasisL'Oasis
L'Oasis (photographié ici en 1916) est le yacht personnel de Léon Lesca (le propriétaire de la villa Algérienne). Le constructeur du Ferret. Après la mort de celui-ci (1913) le bateau l'Oasis fut utilisé pour doubler les liaisons avec Arcachon avant d'être réquisitionné en 1939.> Editeur : LL
Carte n° 599
Carte n°
ARCACHON
vers 1920
> La-plageLa voiture à Sable
Le Boulevard de la République d'Andernos en direction d'Arès. Face à nous, des commerces d'époque : Philips (aujourd'hui une entreprise du bâtiment), un coiffeur, une mercerie et un magasin de vêtements (aujourd'hui une agence immobilière). En face, la maison de la presse (aujourd'hui un magasin de vêtements et accessoires). Sur notre droite, le bar tabac "Le Pacha" (toujours là de nos jours).> Editeur : LL
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