Ferret d'avant présente ma collection personnelle de 2196 cartes postales anciennes de la presqu'île de Lège-Cap Ferret
Collection personnelle de 2196 cartes postales anciennes de Lège-Cap Ferret
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51 résultats pour l'éditeur n°2 : Guillier Henry Guillier, photographe de Libourne (1847 - 1912). La production est ensuite poursuivie par son épouse (éditions Veuve Guillier) puis par ses deux fils (éditions Guillier frères) pour finalement s'arrêter en 1934. - Plus d'infos sur Guillier
La plage de Bélisaire avec la villa Les pêcheurs et le vieux phare bien avant qu'il ne soit dynamité. Tout y est : Le bac à voile pour aller aux parc (jumeaux de l'Escalumade ou du Pdt Pierre Mallet d'aujourd'hui). Sa plate pour transporter les tuiles chaulées destinées au captage du naissain d'huîtres et le bateau ponton (à droite) pour éviter de rentrer trop fréquemment au port de La Teste ou de Gujan. Notez que l'on ne voit pas encore le clocher de Notre Dame des Flots car l'église est encore une toute petite chapelle.
Le tramway de la ligne Bélisaire/Le phare (1895-1905). Cette ligne est la deuxième concession de voie ferré à traction hippomobile créée par Marcel Saugeon (le fils de Jean) et les frères Antoine et François Daney (les fils de Barthélemy) après celle de Bélisaire/Océan créée par Jean Saugeon en 1879 (le père de Marcel, donc :-). Pour se rendre au phare du Cap Ferret, le tramway suivait le rivage, empruntant l'actuel Boulevard de la Plage, longeant la Chapelle Notre Dame des Flots et la Maison Forestière, puis bifurquait légèrement vers la droite. Il faut croire que la ligne ne fut pas rentable car son exploitation cessa en 1905 [Source: Luc Dupuyoo - Les petits trains du Cap Ferret - Ed. confluences 2007]. Voir l'article Ferret d'Avant sur Les cinq lignes du petit train du Cap-Ferret
Le café restaurant Roux avant qu'il ne soit reconstruit et ne devienne le restaurant de la côte d'argent. Sur le poteau de gauche, on peut lire :"Vins de fournitures diverses à emporter - Huîtres fraîches - Grand choix de cartes postales vues du Ferret". Sur le panneau de droite : "L'Etablissement met des tables à la disposition des voyageurs porteurs de leurs provisions". Sur le mur arrière du bâtiment, on peut lire : "Cabines et Costumes de Bains". On distingue, d'ailleurs, les dits costumes accrochés au mur. Au fond à droite, derrière le linge étendu au soleil, la petite cabine de toilettes sèche.
La ligne du premier tramway du Cap Ferret démarre a ses débuts devant le débarcadère de l'auberge Saujeon (futur restaurant Bélisaire) puis devant la villa Ondine lorsqu'elle fut construite. Remarquez au deuxième plan le bateau ponton qui servait de logement aux pécheurs venus de la Teste ou de Gujan-Mestras. Notez aussi sur la carte postale l'orthographe du nom Cap Ferret.
Le premier tramway hippomobile du Cap Ferret entre le premier débarcadère et l'Océan est créé par le gabarier bordelais Jean Saugeon en 1879. Il crée cette ligne de tramway tractée par des chevaux afin de permettre aux touristes de se rendre à l'océan (plage de l'Horizon) depuis son restaurant (l'auberge Saugeon est construite vers 1878) qui fait face au débarcadère qu'il a aussi fait construire pour débarquer les touristes qui venaient d'Arcachon sur son propre bateau vapeur "Le Seudre". Ce n'est qu'en 1885 qu'un certain Barthélemy Daney, dit "Bélisaire", marin-pêcheur né à Gujan Mestras rachète le restaurant de Jean Saugeon et le rebaptise Chez Bélisaire. Ironie du sort, seul le nom de Bélisaire perdure aujourd'hui alors que c'est bien Jean Saugeon qui a tout créé.
Première ligne de tramway tractée par des chevaux afin de permettre aux touristes de se rendre à l'océan (plage de l'Horizon) depuis l'auberge Saugeon (futur restaurant Bélisaire) qui fait face au premier débarcadère du Cap Ferret. Nous somme probablement le 14 juillet en regard du drapeau Français visible sur le devant de la voiture. L'inscription "Le train de ma famille" n'est pas signée au dos de la carte :-(
Le premier débarcadère du Cap Ferret tout en bois devant le restaurant Chez Bélisaire et le vapeur Courrier du Cap. Notez, sur la carte, l'orthographe du nom Cap Ferret.
Face aux passes du Bassin d'Arcachon, la première croix des marins érigée en pierre en avril 1868 à la Pointe du Cap Ferret en souvenir des naufragés de 1836 (78 disparus) avant qu'elle ne soit remplacée par une nouvelle croix en bois puis en granit. Aujourd'hui, depuis le même angle de vue, on devrait voir sur la gauche l'arrière du bar restaurant Le Mirador et face à nous, la pointe de Benoît Bartherotte. Cette première croix en pierre, ensevelie sous les sables, a été retrouvée et placée sur le parvis de Notre Dame des Flots en septembre 1983.
Une belle parqueuse pose devant le village de pêcheurs du Cap Ferret avec le vieux phare à l'arrière plan. Remarquez l'orthographe du Cap Ferret sur la carte.
Ce long débarcadère en bois devant le restaurant Lavergne permet aux vapeurs Le Vigilant, puis Le Ville de Rochefort (visible à l'arrière plan) d'amener les touristes depuis Arcachon et vers les passes de l'océan. On aperçoit à droite une chèvre de levage artisanale pour le chargement des billes de bois à bord des vapeurs. Notez sur la carte d'Henry Guillier, l'orthographe du Cap Ferret.
Départ du Courrier du Cap depuis la première jetée de Bélisaire. Cette carte permet de mieux distinguer le pont arrière du vapeur avec son canot de sauvetage ainsi que la passerelle surélevée du capitaine qui n'est ni recouverte d'une bâche, ni fermée par une cabine en bois comme on peut le constater sur les cartes postales postérieures. A partir de 1931, un deuxième vapeur, le Courrier du Cap II viendra doubler la ligne Arcachon - Cap Ferret.
La première chapelle du Cap Ferret est construite en 1893 pour les Dominicains du Moulleau (Bassin d'Arcachon). Elle est édifiée 8 ans après la chapelle de la villa Algérienne de Léon Lesca qui date de 1885. Le premier mariage dans la chapelle du Cap Ferret (celui d'un douanier) fut célébré par l'abbé Noailles (le chapelain de la chapelle de la villa Algérienne) en avril 1909.
Rare vue de l'intérieure de la chapelle de la villa Algérienne. De chaque côté de l'autel on retrouve les deux petites portes et les deux statues des parents du christ : Saint Joseph et la Vierge Marie. Face à nous, le grand lustre qui nous cache le balcon et une partie de l'autel. Tout en haut de la photo, l'ex-voto (maquette de voilier) accroché au plafond symbolisant la dévotion des marins. Sur les murs, les quatorze stations du chemin de croix. Rien n'a changé aujourd'hui, voir photos.
Des bateaux de plaisance devant le premier débarcadère du Cap Ferret tout en bois. Notez, sur la carte, l'orthographe du nom Cap Ferret. Il sera détruit et reconstruit au même endroit par un second débarcadère en fer pour être remplacé en 1972 - mais un peu plus au nord - par la jetée d'aujourd'hui
Au coeur du village de pêcheurs du Cap-Ferret, le restaurant du Phare Chez Augustin. Plus tard ce sera la villa du colonel Raymond Legrand de La Teste. Au deuxième plan, le vieux phare du Ferret avant qu'il ne soit démoli.
Arrivée du bateau vapeur Le Courrier du Cap au débarcadère de Chez Saujeon (futur Chez Bélisaire). Comme aujourd'hui, les touristes piétinent déjà pour débarquer alors que le capitaine n'a pas encore fini sa manœuvre d'accostage. Notez, sur la carte, l'orthographe du nom Cap-Ferret.
Le premier tramway du Cap Ferret emprunte le même chemin que celui d'aujourd'hui : du débarcadère de l'auberge Saujeon (futur restaurant Bélisaire) jusqu'à l'océan. Le contrôleur, les passagers et même les chevaux Coquette et Belotte prennent la pose pour la photo. Amour, le troisième cheval, doit être au repos. Nous somme probablement le 14 juillet en regard du drapeau Français tenu par un des militaires de la première voiture.
Vue de la villa Sinthiles et de l'hôtel restaurant Bélisaire devant lequel toute la famille prend la pose. Entre le restaurant et la villa se trouve la villa Edouard mais elle est ici cachée derrière les arbres. Tous ces bâtiments seront détruits à la fin des années 1980 pour faire place à la résidence Bélisaire d'aujourd'hui.
Villas Fleur de Cactus, Chardon Bleu, Misa et Le Phoque
Carte écrite en janvier 1910 mais photo de 1905. Il est rare que les légendes des cartes postales soient erronées. C'est pourtant le cas de celle-ci. Les villas de gauche à droite sont en réalités : Fleur de Cactus, Chardon Bleu, Misa et Le Phoque (Source : Max Baumann - Le Temps Retrouvé - Ed. Equinox - p.43)
Comme souvent, le nom de la villa Le Phoque viens du nom de son premier propriétaire, un banquier parisien, M. Fauquet. Cette villa est toujours là aujourd'hui. La villa Chardon Bleu est la propriété de Paul Marguery, professeur de gymnastique et créateur du Club Mickey de la plage du phare
Villas Fleur de Cactus, Chardon Bleu, Misa et Le Phoque
Carte écrite en janvier 1910 mais photo de 1905. Il est rare que les légendes des cartes postales soient erronées. C'est pourtant le cas de celle-ci. Les villas de gauche à droite sont en réalités : Fleur de Cactus, Chardon Bleu, Misa et Le Phoque (Source : Max Baumann - Le Temps Retrouvé - Ed. Equinox - p.43)
La villa Chardon Bleu est la propriété de Paul Marguery, professeur de gymnastique et créateur du Club Mickey de la plage du phare entre 1951 et 1980. Au deuxième plan, le premier phare blanc du Cap-Ferret.
Parti du restaurant Lavergne (actuel Hortense) pour une excursion sur l'océan, le tramway s'arrête deux minutes pour une pose photo et laisser une touriste acheter des sucres d'orge au marchand ambulant de la confiserie J. Amadieu d'Arcachon.
Arrivée du Courrier du Cap au débarcadère de chez Bélisaire
Arrivée du bateau vapeur Le Courrier du Cap au débarcadère de Chez Bélisaire en 1910. Comme aujourd'hui, les touristes piétinent déjà pour débarquer alors que le capitaine n'a pas encore fini sa manœuvre d'accostage. Par contre, les élégantes tenues de dentelles, ombrelles et canotiers ne sont plus celles d'aujourd'hui où l'on est plus proche du tee-shirt-caleçon-tongs.
Le Courrier du Cap et le splendide steamer Léon Pauilhac II au large du Cap Ferret. Ce yacht de 51 mètres de long, construit en 1897, appartenait à Messieurs Pauilhac (propriétaire de la villa Claire du boulevard de la plage à Arcachon) et Calvet de la maison Bardou et Pauilhac, fabriquant du papier à cigarette Job. Auparavant, ils possédaient au autre yacht du même nom de 147 tonneaux qu'ils vendirent au mois d'octobre 1896 à M. H.H Lees qui l'emmena en Angleterre. A la suite de quoi, ils firent construire ce nouveau Léon Pauilhac de 310 tonneaux. Ses aménagement étaient des plus élégants pour l'époque et garantissaient un confort parfait : Sur le pont, entre les deux mâts, il y avait une cuisine, une salle à manger dotée d'un vestibule et deux descentes conduisant au salon. Sous le pont, se trouvaient le salon, cinq chambres de maître, le logement des officiers et le poste de pilotage. A l'origine peint en noir (voir cliché du photographe Léo Neveu), il sera repeint en blanc en 1908. Pendant la saison, Madame veuve Pauilhac faisait installer des balançoires et des trapèzes au dessus de l'eau sur les agrès pour que les enfants d'Arcachon puissent profiter du Yacht. [Source : BAPNP].
Le quartier maritime du Cap Ferret avec le village de pêcheurs au premier plan et l'escourre de la douane au deuxième plan à droite. Les douaniers : premiers occupants du Cap-Ferret ! Aujourd'hui, c'est la résidence de vacances Les Grépins. Au deuxième plan, le banc de sable du Mimbeau. Au fond, le Bassin et la dune du Pilat. Admirez sur la carte le tampon à encre bleu du restaurant Bélisaire (un collector !)
La villa Edouard en 1910 par le photographe Henry Guillier sur les bords de la plage du quartier Bélisaire au Cap Ferret. C'est Aurélie Dambrun qui ma permit d'identifier la position exacte de la villa Edouard : elle se situait entre la villa Sinthiles et le restaurant Chez Bélisaire mais légèrement en retrait par rapport au bord de mer. Aurélie nous renvoie au livre de Max Baumann ou l'on peut lire que cette villa était connue pour son laurier (visible sur la carte) dont on coupait des rameaux pour la bénédiction. Toujours d'après Aurélie, la villa pourrait avoir été nommée en l'honneur de Pierre Edouard Daney (1888-1915), petit-fils de Barthélémy Daney. Hypothèse qui semble très plausible. La villa Edouard est détruite avec ses deux voisines dans les années 80 pour faire place au parc que l'on connait aujourd'hui.
Vue du quartier du Bocque et de Bélisaire depuis le phare du Cap-Ferret. Face à nous, l'actuel boulevard de la plage avec la jetée Bélisaire. En bas de la photo, la véranda en carré de la villa La Cigale de la cantatrice Marie Boyer et tout à droite, le ponton du phare.
La villa l'Argentine (ici en 1910) avec son belvédère pour la chasse à la palombe est construite par Gaston Archambeaud, fabriquant de liqueur. Le nom de cette villa vient des ventes de l'apéritif "Bitter des Basques" que M. Archambeaud vendait aux Basques installés en Argentine au début du siècle. Remarquez au premier plan les rails du petit train Bélisaire/La pointe Océan. L'Argentine est toujours visible depuis la place du marché du Cap Ferret.
La villa Les pêcheurs photographiée par le photographe libournais Henri Guillier. Probablement une des plus belle photographie ancienne de la presqu'île! Cette villa est construite au début du siècle par M. Flouch, négociant en vin et prune à Bordeaux. Elle fut acquise en 1920 par Henri Cameleyre (4 francs le M²) puis achetée par le dramaturge bordelais Jean Anouilh en 1957. L'auteur d'Antigone recevait dans cette villa de nombreux amis dont Marcel Aymé. Cette villa appartient au designer Philippe Starck depuis 2013.
Vue du parc de la villa Algérienne en regardant vers le nord. On aperçoit le bas du mât qui servait à hisser notamment le pavillon du propriétaire lorsque Léon Lesca était sur place. Photo prise par le photographe de Libourne Henry Guillier le même jour que la carte n°207
La villa du Cap souvent nommée sur les vieilles cartes du Ferret (avec la villa Madeleine) afin de délimiter le terrain occupé par l'armée américaine en 1918 (voir la plage des américains). A noter que l'auteur de la carte, qui signe Mad, stipule que la photo représente sa villa et en donne l'adresse : Villa du Cap, quartier Bélisaire, Le phare par Arcachon.
La villa Beau-Rivage est une des premières maisons édifiées par Barthélémy Daney dit Bélisaire. Cette magnifique villa aux deux vérandas est depuis de longues années le restaurant "La Pinasse Café".
Vue du magnifique parc de la villa Algérienne cette fois-ci en regardant vers le sud. Au fond, on aperçoit le mât de pavillon du propriétaire lorsque Léon Lesca était sur place. Pas de pavillon aujourd'hui, le photographe Libournais Henry Guillier peut donc prendre ses photos tranquillement sans déranger son hôte.
Bateaux pontons installés le long de la ligne du tramway Lavergne/Océan qui servaient d'habitation aux familles de pêcheurs et à ceux qui s'occupaient du tramway. Nous sommes de dos au restaurant Lavergne (actuelle pointe Hortense), face à l'actuelle avenue du Tram.
Nous sommes face à la place Walter Reinhard et l'actuel boulevard de la plage du Cap Ferret. L'avenue du Monument Salins et la place du marché sont dans notre dos. Face à nous et de gauche à droite, les villas Fleur des Dunes, Mamie-Robert, Madura et Suzalda Belle Plage. En 1912, le lait se transporte mal par bateau, aussi, chacun avait son lot de quelques vaches qu'il laisse en liberté comme ici, face à la place du manège (place Walter Reinhard - voir aussi la carte n°1085). Certaines vaches du troupeau doivent certainement appartenir à Barthélémy Daney (dit Bélisaire) qui avait son propre cheptel connu pour être assez agressif auprès des rare touristes, quelques plaintes d'époque ayant été retrouvées (comme quoi, rien n'a vraiment changé :-)
Pour appeler ses paroissiens à la messe, l'abbé Noailles, curé de la chapelle Notre Dame des Flots du Cap-Ferret (et de la chapelle Sainte-Marie du Cap), utilisait une simple cloche accrochée à un pin que l'on voit ici tenue par un adolescent. C'est après 1932 qu'est rajouté une nouvelle façade avec un porche d'entrée et un clocheton (voir l'article Notre Dame des Flots fête ses 50 ans).
En 1900, le lait se transporte mal par bateau, aussi, sur la presqu'île du Cap Ferret, chacun avait son lot de quelques vaches qu'il laisse en liberté comme ici, sur la plage du centre. A gauche, la villa Fleur des Dunes, à droite les villas Mamie-Robert, Madura et Suzalda Belle Plage
Vendange sous la treille de la terrasse du restaurant Bélisaire en 1912 qui produisait un vin de table à partir du chasselas de Fontainebleau, une variété de vin blanc à la chair sucrée, blanche et très agréable, toujours exploitée de nos jours.
Entre le restaurant Las Delicias et la villa Les Pêcheurs, les villas en première ligne du quartier Bélisaire du Cap Ferret avec ici la villa Mon Rêve (à gauche), toujours visible aujourd'hui mais sans son porche d'entrée et la villa Margaret (à droite), détruite dans les années 1950.
Vue du parc et de l'étang de la grotte de la villa Algérienne. Cette grotte et son étang se trouve sur la dune de l'Herbe qui surplombe la villa. Invisible sur cette carte, un petit pont et une fausse grotte en pierre d'alios finissait le décor. Remarquez aussi les statues autour de l'étang. Aujourd'hui, l'étang à disparu mais les restes de la grotte de Léon Lesca sont toujours visibles.
Sur l'actuelle avenue de l'Herbe et dans le prolongement de l'Hôtel de la plage se trouvait le Café Arcachonnais tenu au début du siècle par Jean Lacaze. C'est aujourd'hui les cabanes mitoyennes Radegonde et Douce Brise. Le débarcadère dont il est question sur cette carte n'est autre que l'ancien débarcadère de la villa Algérienne (aujourd'hui disparu).