Cartes postales anciennes de Lège-Cap Ferret

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Ferret d'avant présente ma collection personnelle de 2194 cartes postales anciennes de la presqu'île de Lège-Cap Ferret

Collection personnelle de 2194 cartes postales anciennes de Lège-Cap Ferret

Best of cartes postales

Les cartes postales les plus rares de ma collection (actuellement 74 cartes classées par village et date)

Carte n° 41 - 1/74
LA-TESTE
vers 1900

> Grand-banc
Le Ponton du Grand Banc
Le Grand Banc est un banc de sable qui se découvre à chaque marée basse. Il se situe au sud de l'île aux oiseaux. On y installait des pontons flottant afin d'éviter les nombreux allers-retours entre le port et les parcs à huîtres. Ces bateaux à fond plat étaient remorqués sur les bancs par des bacs à voile ou des pinasses à rames.

> Editeur : LL
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Carte n° 1309 - 2/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1902

> Bélisaire/villas/les-pêcheurs
Villa Les Pêcheurs et vieux phare
La plage de Bélisaire avec la villa Les pêcheurs et le vieux phare bien avant qu'il ne soit dynamité. Tout y est : Le bac à voile pour aller aux parc (jumeaux de l'Escalumade ou du Pdt Pierre Mallet d'aujourd'hui). Sa plate pour transporter les tuiles chaulées destinées au captage du naissain d'huîtres et le bateau ponton (à droite) pour éviter de rentrer trop fréquemment au port de La Teste ou de Gujan. Notez que l'on ne voit pas encore le clocher de Notre Dame des Flots car l'église est encore une toute petite chapelle.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1313 - 3/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1906

> Bélisaire/premier-débarcadère
Débarcadère au phare
Seul édifice notable d'avant 1900, le phare du Cap-Ferret, était nommé, à l'époque, le phare d'Arcachon. Ce débarcadère tout en bois était en réalité bien loin du phare car devant l'auberge du gabarier Bordelais Saujeon (futur Chez Bélisaire). On remarque ici que les touristes vont tranquillement au bout du ponton car le vapeur Courrier du Cap n'est pas encore en vue. Seuls quelques bacs à voiles sont à quai.

> Editeur : Mlle J.L.
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Carte n° 2202 - 4/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1907

> Village-de-pecheurs/villas/la-brise
La villa Cazeaux et son éolienne
Extrait du livre "Lège Cap-Ferret : villas et personnalités" de Max Baumann (Ed Équinoxe juin 1993) :

«Paul Cazeaux, négociant en vin à Bordeaux, fit construire cette villa en 1882 pour abriter ses amours - lui aussi. On y menait grand train : cuisinière, femme de chambre, marin. L'amour conserve, l'élue devint centenaire. [...] C'est en 1917 que Cécile Destout, épouse d'un ostréiculteur, créera dans la villa Cazeaux une agence immobilière puis la célèbre pension de famille La Brise que repris leur fille Elisabeth Maurin. Le succès. Trois bonnes, vingt-cinq couverts tous les jours [...] Des clients comme Pierre Benoit, Marcel Aymé, Jean Murat et Anabella, Marie et Lucien Boyer, Zizi Jeanmaire... Avec une telle clientèle, il régnait à La Brise une ambiance hors du commun» [Source : Max Baumann - Livre n°5]. Cette villa, toujours visible aujourd'hui, donne son nom à la rue : la rue de la Brise.

> Editeur : L. Bosq
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Carte n° 1744 - 5/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1908

> La-pointe/pointe-lavergne
Plage de la pointe Lavergne
Pose photo digestive sur la plage du restaurant Lavergne (actuelle plage des Courlis) de la pointe Hortense du Cap Ferret. On retrouve l'homme, l'enfant et le chien sur les photos des cartes n°1703 et n°1789.

> Editeur : L. Bosq
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Carte n° 530 - 6/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1909

> La-pointe/commerces/restaurant-lavergne
Salle à manger Lavergne
Arrivés depuis Arcachon par le vapeur Le Ville de Rochefort, les touristes prennent du bon temps. Debout, au centre de la carte, probablement le capitaine du bateau. La carte est datée au dos du 12 mai 1909.

> Editeur : ND
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Carte n° 2084 - 7/74
CAP-FERRET
vers 1910

> Bélisaire/tramway-bélisaire-océan
Arrivée du tram à l'océan
Le premier tramway du Cap Ferret emprunte le même chemin que celui d'aujourd'hui : du débarcadère de l'auberge Saujeon (futur restaurant Bélisaire) jusqu'à l'océan. Le contrôleur, les passagers et même les chevaux Coquette et Belotte prennent la pose pour la photo. Amour, le troisième cheval, doit être au repos. Nous somme probablement le 14 juillet en regard du drapeau Français tenu par un des militaires de la première voiture.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 596 - 8/74
CAP-FERRET
vers 1910

> La-pointe/bateaux/ville-de-rochefort
Débarquement au Cap Ferret
Le débarquement sous l'œil attentif du commandant depuis le bateau vapeur Ville de Rochefort devant le restaurant Lavergne à la pointe du Cap Ferret (aujourd'hui pointe Hortense).

> Editeur : LL
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Carte n° 1879 - 9/74
CAP-FERRET
vers 1910

> Bélisaire/premier-débarcadère
Courrier du Cap au débarcadère
Arrivée du bateau vapeur Le Courrier du Cap au débarcadère de Chez Saujeon (futur Chez Bélisaire). Comme aujourd'hui, les touristes piétinent déjà pour débarquer alors que le capitaine n'a pas encore fini sa manœuvre d'accostage. Notez, sur la carte, l'orthographe du nom Cap-Ferret.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1214 - 10/74
CAP-FERRET
vers 1910

> Bélisaire/commerces/chez-belisaire
Villas Sinthiles et Bélisaire
Vue de la villa Sinthiles et de l'hôtel restaurant Bélisaire devant lequel toute la famille prend la pose. Entre le restaurant et la villa se trouve la villa Edouard mais elle est ici cachée derrière les arbres. Tous ces bâtiments seront détruits à la fin des années 1980 pour faire place à la résidence Bélisaire d'aujourd'hui.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1715 - 11/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1910

> La-pointe/tramway-lavergne-océan
Halte gourmandise
Parti du restaurant Lavergne (actuel Hortense) pour une excursion sur l'océan, le tramway s'arrête deux minutes pour une pose photo et laisser une touriste acheter des sucres d'orge au marchand ambulant de la confiserie J. Amadieu d'Arcachon.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 527 - 12/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1910

> La-pointe/commerces/restaurant-de-la-cote-d-argent
Devant l'immensité
Magnifique prise de vue de dos au restaurant le la Côte d'Argent et face à l'océan de la pointe du Cap-Ferret.

> Editeur : Henry Guillier
> Tampon du Cap-Ferret
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Carte n° 1212 - 13/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1911

> Bélisaire/villas/les-pêcheurs
Les Pêcheurs par Henri Guillier
La villa Les pêcheurs photographiée par le photographe libournais Henri Guillier. Probablement une des plus belle photographie ancienne de la presqu'île! Cette villa est construite au début du siècle par M. Flouch, négociant en vin et prune à Bordeaux. Elle fut acquise en 1920 par Henri Cameleyre (4 francs le M²) puis achetée par le dramaturge bordelais Jean Anouilh en 1957. L'auteur d'Antigone recevait dans cette villa de nombreux amis dont Marcel Aymé. Cette villa appartient au designer Philippe Starck depuis 2013.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1353 - 14/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1912

> Centre/notre-dame-des-flots
La cloche de Notre Dame des Flots
Pour appeler ses paroissiens à la messe, l'abbé Noailles, curé de la chapelle Notre Dame des Flots du Cap-Ferret (et de la chapelle Sainte-Marie du Cap), utilisait une simple cloche accrochée à un pin que l'on voit ici tenue par un adolescent. C'est après 1932 qu'est rajouté une nouvelle façade avec un porche d'entrée et un clocheton (voir l'article Notre Dame des Flots fête ses 50 ans).

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 476 - 15/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1912

> Bélisaire/commerces/chez-belisaire
Vendange à Bélisaire
Vendange sous la treille de la terrasse du restaurant Bélisaire en 1912 qui produisait un vin de table à partir du chasselas de Fontainebleau, une variété de vin blanc à la chair sucrée, blanche et très agréable, toujours exploitée de nos jours.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 997 - 16/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1913

> Bélisaire/villas/ondine
Gare du tramway devant la villa Ondine
Le premier tramway du Cap Ferret qui faisait à peu près le même parcours que le petit train d'aujourd'hui. Tracté par un cheval, ce premier tram est créé par le gabarier Jean Saugeon en 1879 dont la gare de départ que l'on voit ici était située entre la villa Ondine (visible derrière le tramway) et l'auberge Saugeon (invisible ici car dans notre dos). Le débarcadère du Cap Ferret (alors en bois) est sur notre droite. Au fond, des filets de pêche sèchent sur l'actuelle allée de Bélisaire. A l'arrière plan, la villa Beau-Rivage (actuel restaurant Pinasse Café) avec ses quatre cheminées qui appartenait au Gujanais Barthélémy Daney dit Bélisaire qui rachètera l'auberge Saugeon qu'il rebaptise Chez Bélisaire.

> Editeur : Marcel Delboy
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Carte n° 1484 - 17/74
CAP-FERRET
vers 1915

> Bélisaire/villas/beau-rivage
Villas Beau-Rivage et Bélisaire
La villa Beau-Rivage est une des premières maisons édifiées par Barthélémy Daney dit Bélisaire. Cette magnifique villa aux deux vérandas est depuis de longues années le restaurant "La Pinasse Café". A comparer avec la carte n°479 prise le même jour.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 2173 - 18/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1915

> La-pointe/tramway-lavergne-océan
Arrivée à l'escalier de l'océan
Ce tramway hippomobile permettait de faire l'aller retour entre le débarcadère de la pointe Lavergne (aujourd'hui Hortense) et l'océan. Son terminus était au pied de la dune où se trouvait un escalier. On continuait alors à pied jusqu'à l'Océan où se trouvait le restaurant de la côte d'Argent et la Buvette de l'Océan. Sur la gauche de la carte, on aperçoit le sémaphore du Cap-Ferret. Notez le tampon Marine Française qui exemptait de timbre les soldats et marins français de la Première Guerre mondiale (franchise militaire).

> Editeur : Henry Guillier
> Tampon Marine Française
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Carte n° 479 - 19/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1916

> Bélisaire/commerces/chez-belisaire
Bélisaire face au Bassin
Magnifique carte postale du restaurant Bélisaire vue de dos et face au Bassin d'Arcachon. Remarquez le tas de rails qui devaient servir à la ligne du tramway Bélisaire-Océan.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 518 - 20/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1916

> La-pointe/commerces/restaurant-roux
Le restaurant Roux
Le restaurant de Georges Roux en 1916 avant de devenir en 1936 le restaurant "Chez Hortense". L'Hôtel de la Pointe de Louis et Hortense Semmartin ayant sombré au fond des passes, Hortense Semmartin (née Crampé), veuve depuis 1925 mais mère d'Isabelle dite "Zaza", rachète alors ce restaurant Roux situé 200m en arrière. C'est ainsi qu'en 1936, Chez Hortense ouvre ses portes. Isabelle Lescarret, dites Zaza, marié à Alban Lescarret, ostréiculteur Ferret Capien, fera la réputation du restaurant aidé par sa fille et ses deux fils: Bernadette, Yvan et Michel.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 2064 - 21/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1916

> La-pointe/tramway-lavergne-océan
Escalier vers l'océan
Depuis la pointe Lavergne (aujourd'hui Hortense) le tramway n'allait pas jusqu'au bord de la mer mais jusqu'au pied de la dune où se trouvait un escalier. On continuait alors à pied jusqu'à l'Océan. En haut de l'escalier, on reconnais à sa casquette et à sa barbe, le commandant du vapeur Le ville de Rochefort qui vient, lui aussi, de faire un bon repas face à l'océan au restaurant de la côte d'argent.

> Editeur : Henry Guillier
> Tampon Le Cap Ferret Océan
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Carte n° 1438 - 22/74
CAP-FERRET
vers 1920

> Bélisaire/peches-et-ostreiculture
Bateau ponton du Cap Ferret
Magnifique mise en scène ou tout une famille pose devant un bateau ponton servant d'habitation (je compte 14 personnes, tout de même). Comme la plupart des ostréiculteurs, cette famille viens probablement de Gujan-Mestras ou de La Teste s'occuper de leur parcs du Cap Ferret. Installée, comme ici contre le restaurant Bélisaire, ces pontons leurs évitaient le temps de transport avec leurs pinasses à voile qui dépendaient totalement des caprices de la météo. On peut aussi voir la proue de ce bateau ponton sur la carte n°447 de 1928. Derrière le bateau, les baladeuses du premier tramway hippomobile du Cap Ferret de la ligne Bélisaire/Océan créé par le bordelais Jean Saugeon en 1879.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 753 - 23/74
CAP-FERRET
vers 1920

> Centre/notre-dame-des-flots
Sieste devant la chapelle Notre Dame des Flots
Quoi des plus important qu'une bonne sieste à l'ombre des pins devant la chapelle du Cap Ferret? Le photographe arcachonnais Léo Neveu nous démontre ici la simplicité du bonheur. Aujourd'hui, le brave homme qui nous souris en mâchonnant une aiguille de pin serait un peu dérangé pour dormir tranquille :-)

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 1635 - 24/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1922

> La-pointe/tramway-lavergne-océan
Porteur et capitaine
Insolite prise de vue ou l'on reconnait, au centre de la photo, Albert, le marchand ambulant de gâteaux de la pâtisserie Royère d'Arcachon en conversation avec le capitaine du vapeur Le ville de Rochefort. Nos deux compères sont de retour du restaurant Roux de la côte d'Argent qui fait face à l'océan de la pointe du Cap Ferret (actuelle plage du pétrole). Après un bon repas, il est temps de retourner au bateau amarré au débarcadère Lavergne (actuel Hortense) avec le tramway hippomobile qui les attend à quelques mètres de là. Dix minutes de marche, quinze de tramway, une petite heure de traversée... Nous serons à Arcachon pour la soirée.

> Editeur : V Polteau
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Carte n° 1933 - 25/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1924

> La-pointe/commerces/restaurant-bellevue
Ephémère malgré lui
Le restaurant Bellevue est créé par Marie-Noelle Roux le long de la ligne du tramway Lavergne/Océan à l'emplacement de l'actuelle plage des Courlis à la pointe du Cap-Ferret. Comme le résume si bien le grand collectionneur Max Baumann : « Bâti imprudemment à l'extrémité de l'avenue du Tram, il aura une existence éphémère » Il ne fallut en effet pas plus de deux saisons pour que les tempêtes d'hiver emportent ce magnifique ouvrage qui possédait son propre débarcadère pour le Courier du Cap que l'on peut voir au troisième plan.

> Editeur : Cap
> Flamme d'Arcachon
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Carte n° 613 - 26/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1926

> La-pointe/commerces/hotel-de-la-pointe
Le débarcadère de l'Hôtel
Le débarcadère de l'Hôtel de la pointe (ex restaurant Lavergne) tenu par Louis et Hortense Semmartin. Remarquez le panneau : "Tramway pour l'Océan". La ligne du tramway hippomobile La pointe/Océan créée en 1896 permettait de faire l'aller retour entre ce débarcadère côté bassin et l'océan où se trouvaient aussi un restaurant (Le restaurant Roux de la côte d'Argent) et une buvette (le Café Lalanne). Voir une autre carte postale de ma collection.

> Editeur : LL
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Carte n° 2100 - 27/74
CAP-FERRET
vers 1928

> La-pointe/maison-du-spectacle
La Maison du Spectacle au Cap-Ferret
Pour la 2100ième carte postale de ma collection de la presqu'île, une carte postale émise à l'occasion de l'inauguration de la première maison du spectacle du Cap Ferret construite en 1928 (voir verso de cette carte). On peut voir sur la photo que les vitres sont encore peintes d'une croix afin de signaler leur nouvelle présence. Les photos de cette première colonie de vacances sont très rares car cette maison a disparu sous les sables dans les années 1940 (voir carte n°511). Une deuxième mutuelle des enfants du spectacle fut construite de l'autre côté de l'avenue de Bordeaux qui est restée fameuse car rachetée en 2004 par le compositeur interprète Pascal Obispo (Voir l'article sur son inauguration).

> Editeur : Autoédition
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Carte n° 519 - 28/74
CAP-FERRET
vers 1930

> La-pointe/commerces/restaurant-roux
Le restaurant Roux
Le restaurant de Georges Roux dans les années 1930 avant de devenir en 1936 le restaurant "Chez Hortense". On reconnait la véranda d'aujourd'hui parfaitement conservée. Le restaurant Roux était situé derrière l'hôtel-restaurant de la Pointe et bien en retrait de la côte. C'est pourquoi il n'a pas fini au fond de l'eau comme son voisin en 1936. Fait remarquable ; on peut lire au verso de cette carte postale une commande du vendredi 2 janvier 1959 d'huitres portugaises de différentes tailles pour Alban Lescarret (le père de Bernadette). Est rajouté en bas du dos de la carte : « Porte les filets et les étrennes samedi ». On remarque par ailleurs sur le centre de la carte une pliure qui indique que cette commande fut glissée dans une poche de chemise.

> Editeur : A Thiriat
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Carte n° 314 - 29/74
CAP-FERRET
vers 1930

> Bélisaire/villas/ondine
Villa Ondine
La villa Ondine et, au premier plan, les rails du départ du tram pour l'océan. Il s'agit de la première ligne de tramway hippomobile Bélisaire/Océan tracté par des chevaux créée en 1879 par Jean Saujon. La villa Ondine est difficilement visible aujourd'hui car masquée par les commerces de Bélisaire. Elle se trouve juste derrière la villa Beau-Rivage qui fait face au Bassin.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 2186 - 30/74
CAP-FERRET
vers 1930

> Phare/vieux-phare
Déjeuner champêtre aux pieds du phare
Déjeuner champêtre servi aux pieds du vieux phare du Cap-Ferret le jour de la croisière du Touring Club de France. Remarquez au sol la voile qui sert de nappe.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1202 - 31/74
CAP-FERRET
vers 1930

> Océan/commerces/pavillon-bleu
Le Petit Robinson
Ce restaurant Le Petit Robinson se trouvait au pied de la dune qui mène à la plage océane de l'Horizon (plage du petit train) et sur l'emplacement actuel du restaurant le 75 (hôtel Pavillon Bleu). Il succède à l'hôtel-restaurant d'Arhie (qui donnera pendant un temps son nom au quartier). Avant de disparaître dans un incendie, le Petit Robinson servira d'annexe au Grand hôtel de la mer des époux Dubrel.

> Editeur : Lotissement
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Carte n° 1463 - 32/74
CAP-FERRET
vers 1930

> Village-de-pecheurs/commerces/le-bayonne
La terrasse du Bayonne
La terrasse de l'Hôtel restaurant Le Bayonne au centre du village de pêcheurs du Cap Ferret qui succède au Café central des années 1920 tenu par la famille Belliard. La salle de bal sera transformée en cinéma puis en discothèque (Le Mimbeau club). En 1992, il devient le Show-Bizz. C'est aujourd'hui La Maison du Bassin.

> Editeur : Lotissement
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Carte n° 1007 - 33/74
CAP-FERRET
vers 1930

> Centre/commerces/hotel-des-pins
L'Hôtel des Pins du Cap-Ferret
Magnifique carte de l'Hôtel des Pins du Cap Ferret. Cet hôtel est construit au début du siècle par le charpentier Julien Molas (entre autre fabricants de cercueils :-). En 1937, l'hôtel sera repris par Arthur et Séréna Arcagni puis par leurs enfants Paul et Huguette (Source Max Baumann - Le Cap Ferret - Le temps retrouvé - p74). C'est ensuite Claire et Xavier Dessalle qui rénove l'hôtel en lui restituant tout son charme d'époque. Ils tiendront aussi le restaurant L'escale. Depuis 1999, c'est Gernot Rohr, ancien entraîneur des Girondins de Bordeaux, qui préside aux destinées de l'établissement.

> Editeur : A Thiriat
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Carte n° 2154 - 34/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1934

> La-pointe/maison-du-spectacle
Séjour de vacances au Cap-Ferret
Nous sommes ici dans la première maison de la colonie de vacances de la mutuelle des enfants du spectacle du Cap-Ferret. La photo de Léo Neveu est probablement prise à l'occasion de la classique matinée consacrée à l'écriture d'une lettre aux parents. Remarquez comme l'on se tient bien correctement. Même tenue; short, débardeur et petite sandale, mais aussi coiffure identique; cheveux plaqués et raie sur le côté. Trendy comme style, non? Cette première maison du spectacle disparaitra entièrement sous les sables à la fin des années 1940.

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 275 - 35/74
CAP-FERRET
Carte postale écrite en 1939

> Océan/commerces/l-atlantique
Restaurant de l'Atlantique
Le restaurant de l'Atlantique avant qu'il ne disparaisse sous la dune. Quand vous passez la dune à pied en allant à la plage de l'horizon, à peu-près à mi-parcours, arrêtez-vous et pensez que ce restaurant est actuellement à 8 mètres sous vos pieds. La carte est datée du 24 août 1939. Les sept hommes visible sur la photo vont donc recevoir leur ordre de mobilisation dans une semaine. Combien en reviendront?

> Editeur : Marcel Delboy
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Carte n° 279 - 36/74
LA-VIGNE
vers 1920

> Plage-des-americains
Hangars d'aviation américain
Les hangars d'aviation de l'ancien camp américain au Cap-Ferret qui donne son nom à la plage (ancien lieu dit Le Boque). Le nom de cette plage du quartier de la Vigne viens de l'installation d'une base d'une douzaine d'hydravions avec plus de 300 militaires américains entre janvier 1918 et l'armistice de novembre. Voir au centre Jean Moulin de Bordeaux, l'exposition du centenaire de l'arrivé en juin 1917 des américains dans notre région : 1917 : Voilà les Américains !. Lire aussi l'article sur l'école d'hydravions Villers du Cap Ferret.

> Editeur : Lotissement
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Carte n° 1823 - 37/74
LA-VIGNE
vers 1920

> Plage-des-americains
US Naval Air Station du Cap-Ferret
Les bâtiments destinés au casernement des 300 militaires américains de la base U.S. d'hydravions installés pendant la seule année 1918 au Cap-Ferret pour lutter contre les sous-marins lors de la première guerre mondiale. Nous sommes au sud de l'actuelle plage des américains de la Vigne. Derrière les baraquements, on aperçoit un des deux double hangars en bois qui abritaient la douzaine d'hydravions. Toutes ces installations ont aujourd'hui disparu. Au deuxième plan, la villa Madeleine, toujours là aujourd'hui. Lire, à ce propos l'article sur l'école d'hydravions Villers du Cap-Ferret et l'archive sur le camp américain du Cap Ferret du service des archives de la mairie (novembre 2020).

> Editeur : Lotissement
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Carte n° 217 - 38/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1907

> Villa-algerienne/debarcadere
L'Oasis devant la villa Algérienne
Erreur dans le descriptif de la carte : C'est bien le débarcadère de la villa Algérienne avec le yacht l'Oasis de Léon Lesca. Comme la Villa, le débarcadère est construit par Léon Lesca. Il se distingue des autres débarcadères par ses gros piliers en béton. Il a aujourd'hui lui aussi disparu...

> Editeur : Jacob Garson
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Carte n° 1672 - 39/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1908

> Villa-algerienne
Frantz et Adolphe devant leur villa
Frantz, le fils Lesca et à droite son beau-frère, Adolphe Bordes (1858-1940), marié à Marthe Lesca (1869-1941)* et armateur d'une flotte de plus de 40 voiliers ! Tous deux posent devant la villa Algérienne dont Frantz héritera à la mort de Léon Lesca. Frantz, qui habite à Casablanca (Maroc), vendra la villa à des restaurateurs en 1953. A noter que cette carte est prise le même jour que la carte n°235.

____________________
* : Adolphe et Marthe auront quatre enfants dont Antoinette Bordes (1895-1969) qui se marie à Jean Cottin (1885-1961). Ils auront six enfants dont François Cottin qui se marie à Françoise. Ils auront cinq enfants...

> Editeur : PP
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Carte n° 1891 - 40/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1913

> Bourg
Café Arcachonnais
Sur l'actuelle avenue de l'Herbe et dans le prolongement de l'Hôtel de la plage se trouvait le Café Arcachonnais tenu au début du siècle par Jean Lacaze. C'est aujourd'hui les cabanes mitoyennes Radegonde et Douce Brise. Le débarcadère dont il est question sur cette carte n'est autre que l'ancien débarcadère de la villa Algérienne (aujourd'hui disparu).

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1339 - 41/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1918

> Villa-algerienne/grotte-leon-lesca
Grotte de la villa Algérienne
La grotte de la villa Algérienne de Léon Lesca. Elle possède en son centre (sous le lierre que l'on voit ici), les initiales de Léon Lesca avec la date 1900 dessinées avec des coquillages. Cette grotte est toujours visible sur la dune de l'Herbe mais n'est plus que l'ombre d'elle même : l'étang à disparu et le surplomb en pierre d'alios est tombé. La "grotte" n'est donc plus aujourd'hui qu'un simple mur au bord d'un parc arboré (voir mes photos personnelles). Les initiales sont toujours là mais perdent petit à petit les coquillages qui forment ses lettres. Pourquoi ne pas protéger ce qui reste? Cela fait pourtant partie de notre histoire.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 1445 - 42/74
L-HERBE
vers 1920

> Villa-algerienne/grotte-leon-lesca
Petit pont de la grotte Léon Lesca
Le petit pont rustique qui enjambe l'étang de la grotte de la villa Algérienne de Léon Lesca. Cette "grotte" (ou ce qu'il en reste) possède toujours aujourd'hui en son centre les initiales de Léon Lesca avec la date 1900 dessinées avec des coquillages. Vous pouvez retrouver les restes de la grotte en allant sur la dune de l'Herbe juste au dessus du village de pêcheurs (voir mes photos personnelles).

> Editeur : LG
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Carte n° 2189 - 43/74
L-HERBE
vers 1925

> Villa-algerienne/grotte-leon-lesca
Parc de la villa Algérienne
Rare cliché du photographe arcachonnais Léo Neveu du parc de la villa Algérienne avec son petit pont rustique qui enjambe l'étang face à la grotte de Léon Lesca.

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 954 - 44/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1928

> La-plage
Livraison du pain en bac à voile
Magnifique carte du photographe arcachonnais Léo Neveu (1880-1944) ou l'on découvre la livraison du pain en bac à voile au village de l'Herbe. Il est vrai qu'a l'époque la route n'existait pas encore. On reconnait ici le bac à voile "Les deux frères", patron Edmond Mène et le boulanger Dehillotte apportant le pain d'Arcachon (Source: Luc Dupuyoo - Lège-Cap-Ferret page 80 - Ed. A. Sutton). Edmond Mène est le grand-père du mari de Martine Mène, la propriétaire de l'hôtel restaurant La Maison du Bassin (ex hôtel-restaurant-cinéma Le Bayonne). Avec son bac, Edmond Mène livrait aussi la limonade mais surtout le charbon et les pains de glace si précieux à l'époque (Source:Le Bassin Au Temps De Papé Et Mamé).

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 2000 - 45/74
L-HERBE
Carte postale écrite en 1932

> Villa-algerienne
La treille de la villa algérienne
Une carte rare pour la 2000ième : la treille de la villa algérienne. Une partie du parc était réservé à la vigne qui produisait du vrai vin : le vin des Dunes du Cap Ferret. Sur la photo, deux employés de Léon Lesca : Maxime Bordelais, vigneron, et François Barreau, jardinier [Source: Luc Dupuyoô - se souvenir de Lège-Cap Ferret - Ed. Geste 2012].

> Editeur : LG
> Flamme d'Arcachon
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Carte n° 1676 - 46/74
LE-CANON
Carte postale écrite en 1913

> La-plage
Parqueurs de retour du travail
Magnifique photo d'Henri Guillier de parqueurs du Canon de retour du travail dans les parques à huitres à bord de leur pinasse à voile.

> Editeur : Henry Guillier
> Cachet Bélisaire
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Carte n° 186 - 47/74
LE-CANON
vers 1925

> Bourg
Boulevard de l'herbe
Le boulevard de l'herbe du Canon (aujourd'hui, route du Cap-Ferret) vers 1920 par le photographe d'art d'Arcachon Léo Neveu (1880-1944). Incroyable carte postale quand on sait le nombre de maisons qu'il y a aujourd'hui le long de cette route. Partir voir la pointe du Ferret relevait, à cette époque, de la véritable expédition.

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 384 - 48/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1907

> Debarcadere
Courrier du Cap au quai de Piquey
Magnifique photo du Courrier du Cap au débarcadère en bois de Grand-Piquey en 1907. A l'arrière plan, la plage, le Grand Hôtel Chantecler et à droite, le Grand hôtel de la côte d'argent. Remarquez l'orthographe de Piquey dans le titre de la carte :
- Vous habitez où ?
- A Piguey
- Où ça ?

> Editeur : Inconnu
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Carte n° 2203 - 49/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1911

> Debarcadere/travaux-ostreicoles
Parqueurs d'huîtres de retour des parcs
Magnifique photo d'Henry Guillier de parqueurs d'huîtres de retour des parcs.

> Editeur : Henry Guillier
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Carte n° 936 - 50/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1920

> Debarcadere/hotel-de-la-cote-d-argent
Grand hôtel Digneau
Face au débarcadère de Grand-Piquey et voisin de l'Hôtel Chantecler, le Grand hôtel Digneau est fondé par l'arésien M. Digneau. Démoli dans les années vingt, puis reconstruit et rebaptisé Grand Hôtel de la Côte d'Argent, l'hôtel fut détruit par un incendie en 1960. La photo de la carte postale, malheureusement déchirée (tache blanche au niveau des marches), est du photographe arcachonnais Léo Neveu.

> Editeur : Léo Neveu
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Carte n° 2169 - 51/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1922

> Debarcadere
Maison Cluzan
Difficile de situer cette Maison Cluzan de Piquey. C'est grâce à une autre carte de ma collection, une vue de l'hôtel Chanteclerc par le photographe Raoul Lafont, que j'ai finit par la retrouver à quelque mètres au sud de l'hôtel et du débarcadère de Grand-Piquey. Une nouvelle villa se trouve actuellement sur son emplacement.

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 162 - 52/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1927

> Debarcadere/hotel-de-la-cote-d-argent
Grand hôtel de la côte d'argent
Démoli dans les années vingt, puis reconstruit, le Grand Hôtel Digneau est renommé en Grand Hôtel de la Côte d'Argent. Il sera détruit dans un incendie en 1960. Sur le panneau visible sur la carte, on peut lire : "E. F. du Touring Club", soit Etablissement Français du Touring Club de France. La photo est du photographe arcachonnais Raoul Lafont.

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 658 - 53/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1928

> Debarcadere
Arrivée de l'Oasis à Grand-Piquey
Le yacht personnel de Léon Lesca, L'Oasis, devant le débarcadère en bois du grand Hôtel de la Côte d'Argent à Grand Piquey. Après la mort de Léon Lesca (1913) le bateau l'Oasis fut utilisé pour doubler les liaisons avec Arcachon avant d'être réquisitionné en 1939.

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 1335 - 54/74
GRAND-PIQUEY
Carte postale écrite en 1930

> Les-hirondelles/villa-les-hirondelles
Villa Les Hirondelles
La villa Les Hirondelles de Grand-Piquey édifiée vers 1880 par Frédéric Lesca (frère de Léon). Remarquez le souci du détail et la composition de cette magnifique photo : les enfants s'amusent sur la clôture sur laquelle sont étendus les filets de pêches tandis que la voiture à sable part pour le bourg.

> Editeur : Vidal
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Carte n° 763 - 55/74
PETIT-PIQUEY
Carte postale écrite en 1907

> Le-grand-coin/villas/bardet
La villa Bardet
La villa Bardet par le photographe arcachonnais Raoul Lafont. Cette villa avec deux tours de style 1900, appartenait à Pierre Pauilhac, chirurgien à Arès qui fit construire par l'architecte Fernand Bardet cette réplique de sa villa d'Arès (la banque en face du porche de l'église d'Arès). Fernand Bardet en héritera à la mort de Madame Rosalie Pauilhac, veuve sans enfants vivants. Cette maison de famille est aménagée ensuite en quatre logements. En 1985, l'une des héritières Bardet décide de vendre sa partie à un promoteur. La maison au deux tourelles est alors coupée en deux pour permettre la construction du lotissement Les Pinasses (40 studios). Aujourd'hui, l'une des tours domine encore le quartier mais il ne reste que la moitié du patio [Source: Archives municipales]

Note : Il semble bien que les Pauilhac furent les fondateurs de Petit-Piquey qui fut d'ailleurs appelé quelque temps Pauilhac (source : M. Baumann et J. Ragot - Métamorphoses).

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 1971 - 56/74
PETIT-PIQUEY
Carte postale écrite en 1911

> Centre
Vue générale de Petit-Piquey
Vue de Petit-Piquey depuis la dune de la pointe aux chevaux en regardant vers le nord (vers les Jacquets). Face à nous la future rue berthelot avec, au fond à gauche, le bâtiment blanc à étage du grand café de l'avenir de Désiré Dumur. Remarquez que le café à une vue directe sur le Bassin. Cela ne durera pas et les futurs propriétaires décideront de tourner l'entrée de leur commerce vers la route de Bordeaux et de le rebaptiser L'Oasis. Tout au fond de la photo, au pied de la dune du Truquet, la villa Bardet avec ses deux petites tours.

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 924 - 57/74
PETIT-PIQUEY
Carte postale écrite en 1912

> Centre/commerces/l-oasis
Le Grand Café de l'Avenir
Façade côté Bassin (rue Berthelot) du grand café de l'avenir de Désiré Dumur dont les Vidal sont les descendants. Successivement épicerie, restaurant, Grand café Dumur, hôtel Les Tremières (tenu par Ernest et Irène Vidal), librairie, maison de la presse, cinéma (l'Oasis)... L'architecte de renom Le Corbusier viendra dix années consécutives (1926-1936) dans cet établissement. Le café l'Oasis qui datait de 1898 à fermé en 2000, le cinéma en 2009 mais le fils Gilles Vidal à entre temps ouvert Le Taouley sur la même place (voir article journal Sud-Ouest). Pendant de longue années, un grand réservoir à poissons occupait tout l'espace entre cette magnifique battisse et le Bassin d'Arcachon. Aujourd'hui, le réservoir a disparu et de nombreuses villas occupent le terrain.

> Editeur : Raoul Lafont
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Carte n° 2004 - 58/74
PETIT-PIQUEY
vers 1920

> Centre
La route directe Bordeaux-Cap Ferret
Carte postale promotionnelle éditée par la Compagnie d'Entreprises Immobilières qui avait en charge la vente des terrains du centre du Cap-Ferret acquis lors de l'échange Labro de 1919. Nous sommes au Petit-Piquey, à l'angle de la route de Bordeaux et de l'avenue du Truc Vert, devant l'ancien immeuble des établissements Pulon qui ont depuis déménagés au Canon et actuellement occupé par l'agence de L'Estérel. Nous sommes un peu avant la maison de l'octroi de Grand-Piquey ou l'on payait la taxe municipale à l'importation de marchandises entre les communes de Lège et La Teste. La route à partir de ce point ne fut construite que fort tardivement.

> Editeur : Compagnie d Entreprises Immobilières
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Carte n° 124 - 59/74
CLAOUEY
vers 1920

> Jane-de-boy
Appontement Jane de Boy
L'appontement Jane de Boy vers 1920 pour le transbordement du bois sur des bacs qui sont ensuite remorqués jusqu'au grands voiliers en partance pour l'Angleterre. Le nom du quartier Jane de Boy viendrait de jean des bois car Jean s'écrit Jan, en gascon. On devrais prononcer "Bois" et non pas "Boï" comme on l'entend souvent. Sur la carte, encore une variante dans l'écriture du nom.

> Editeur : Marcel Delboy
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Carte n° 1362 - 60/74
CLAOUEY
Carte postale écrite en 1925

> L-anse/commerces/aux-deux-chaumieres
Maisons Guérin et Gorry
Avant de devenir la pension de famille "Aux Deux Chaumières" cette grande maison secondaire était divisée en deux habitations pour les familles Guérin et Templiers. Au deuxième plan, la villa Flou de Pin de la famille Gorry devant laquelle on peut distinguer la croix du cimetière de Lège sur son ancien emplacement (voir un agrandissement).

> Editeur : Inconnu
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Carte n° 2199 - 61/74
CLAOUEY
Carte postale écrite en 1928

> L-anse/villas/villa-flou-de-pin
Villa Flou de Pin et nouveau parapet
La villa Flou de Pin (Fleur de Pin), la villa de la famille Gorry, producteur de produits résineux à Lège (voir l'usine Gorry). Nous sommes face au virage de Claouey, face au Bassin. Devant la villa et les barbelés, on peut distinguer la croix en pierre provenant de l'ancien cimetière de Lège. Cette croix, du XVI siècle, aurait été amenée là par l'abbé Chaloupy, curé de Lège et habitant la villa Flou de Pin. Récupérée en 1963 et restaurée par la commune, elle s'élève aujourd'hui face au bassin. Au deuxième plan, le nouveau parapet du virage de Claouey qui ferme définitivement le petit port naturel de Claouey mais permet la passage des automobiles vers le reste de la presqu'île. Remarquez au sol les rails du petit train Bélisaire/La pointe Océan.

> Editeur : Marcel Delboy
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Carte n° 1242 - 62/74
CLAOUEY
vers 1930

> Bastide/commerces/auberge-du-bassin
La buvette de Piclaouey
La cabane ostréicole de la famille François [Source : Jean-Marie Brossard 2012] est transformée en buvette avant que cela ne devienne Le restaurant Au Bon Accueil puis l'actuelle Auberge du Bassin. Cette Buvette de Piclaouey était tenue par la famille Durrieux. Au dos de la carte, on peut lire : «Assise avec le tablier, Mme Durrieux (propriétaire). A côté Mlle Durrieux à son mariage - M. Charron»

> Editeur : Prévot
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Carte n° 1874 - 63/74
CLAOUEY
Carte postale écrite en 1933

> L-anse/petit-port
Villa Mon petit Touton-Charlot
La villa Mon Petit Touton construite en 1920 dont la deuxième aile est baptisée villa Charlot et qui possède encore aujourd'hui dans son jardin le belvédère que l'on voit sur la carte n°1180 et sur les photos n°1190 et n°1192. Cette villa de Claouey est encore visible aujourd'hui depuis l'allée des Primevères et l'avenue de l'Anse. Elle était en première ligne du petit port de l'anse de Claouey. Mais la nouvelle route du Cap-Ferret (le fameux virage de Claouey) ferme définitivement ce petit port naturel.

> Editeur : Marcel Delboy
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Carte n° 1253 - 64/74
CLAOUEY
Carte postale écrite en 1935

> Centre/la-fontaine
La fontaine de Claouey
Le puits artésien en pierre d'alios de Claouey un an avant que le Casino Dancing-Pâtisserie ne soit construit sur le terrain que l'on voit juste derrière, en 1936, par monsieur Mivielle (pâtissier bordelais). Ce puits est construit en 1920 sur la demande du maire de Lège Osmin Gayet qui fit aussi construire les lavoirs de Lège et le puits que l'on peut toujours voir à Petit-Piquey en face de la Bibliothèque.

> Editeur : Prévot
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Carte n° 1177 - 65/74
LEGE
Carte postale écrite en 1907

> Ignac/commerces/boucherie-despujol
La boucherie Despujol
A l'entrée sud de Lège, la boucherie tenue par la famille Despujol (l'enseigne en bois est visible juste au dessus de la fenêtre). La photo est prise sur l'actuelle rue de la mairie au niveau du Y de Lacanau. A gauche se trouvait le village d'Ignac, aujourd'hui disparu, d'où le texte sur la carte postale. Deux femmes portent la fameuse benèze, la coiffe des femmes du Bassin d'Arcachon et plus particulièrement des parqueuses d'huîtres. Les autres portent des chapeaux de paille décorés de fleurs. Nous avons aussi une femme avec son landau d'époque ainsi qu'une calèche à cheval et son cocher qui pose à côté. Plus qu'une pose photo, cela sent la célébration...

> Editeur : Gourdin
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Carte n° 1257 - 66/74
LEGE
vers 1910

> Centre/ancienne-mairie
Le lavoir de la place de la Mairie
Le premier lavoir de la place de l'ancienne mairie de Lège que le maire Henri Guérin (1881) fit construire au début du siècle. Il sera couvert d'un toit de bois par le maire suivant, Osmin Gayet (1920). Vous pouvez toujours voir l'ancienne mairie devant le collège Jean Cocteau de Lège. La date d'agrandissement, 1888, est gravée sur son fronton. Mais point de Lavoir... Sur Lège, seul le lavoir de l'entrée sud (avenue de la mairie) et celui de l'avenue du Médoc sont encore visible.

> Editeur : Gourdin
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Carte n° 272 - 67/74
LEGE
Carte postale écrite en 1916

> Centre/commerces/cafe-villetorte
Café Villetorte et ancienne église Saint Pierre
Vue depuis l'actuel petit rond-point du restaurant Le Chat Toqué (ex Café Goubet). Au premier plan, le café Villetorte (aujourd'hui la Poste) et au deuxième plan, l'ancienne église Saint-Pierre de Lège rasée et reconstruite en 1928. Le café Villetorte offrait une terrasse qui avait la particularité d'être invisible depuis la route et surtout du parvis de l'église. Les maris pouvaient donc continuer de trinquer sans que leurs femmes, allant à l'église, ne puissent les voir.

> Editeur : Gaby Bessière
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Carte n° 273 - 68/74
LEGE
vers 1920

> Centre/eglise
Café Villetorte et église Saint Pierre
L'ancienne église Saint-Pierre de Lège bourg. Sa construction commencée sous François 1er ne fut terminée que sous Louis XIV. De style fortifiée avec des petites ouvertures elle devint trop petite et fut démolie en 1925 pour être remplacée par l'église actuelle dont la construction commença en 1928.

> Editeur : Boissin
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Carte n° 465 - 69/74
LEGE
vers 1920

> Médoc/usine-frugès
La grand usine Frugès
La scierie mécanique créée par Arnaud Guérin qui fut ensuite rachetée par l'industriel de Bordeaux Henry Frugès pour y fabriquer des caisses d'emballage pour le sucre. C'est Henry Frugès qui fit construire par son ami l'architecte suisse Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier, les maisons ouvrières visibles dans la même rue. Il est cocasse de constater qu'après deux incendies, l'usine soit remplacée par le service départemental d'incendie et de secours de Lège.

A noter que j'ai prêté cette carte postale pour l'exposition "La Cité Frugès-Le Corbusier" visible Espace Saint-Rémi - 4 rue Jouannet à Bordeaux du 28 janvier au 20 février 2022 (Gratuit 11h-18h sauf lundi) organisée par l'association Archimuse qui œuvre actuellement pour la mise en valeur de la cité Frugès - Le Corbusier à Pessac - Plus d'infos sur u-bordeaux-montaigne.fr et sur bdxc.fr

> Editeur : Viaud
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Carte n° 466 - 70/74
LEGE
vers 1920

> Médoc/usine-gorry
Usine Gorry
La distillerie de résine à Lège est créée par M. Gorry en 1864. Avant l'apparition des résines de synthèse, on tirait de la résine du pins des Landes, de l'huile et de l'essence de térébenthine. L'usine Gorry connue son heure de gloire pendant la guerre de sécession américaine (entre 1861 et 1865) grâce au blocus de la marine nordiste. La résine concurrente restant à quai. Comme nombre de Légeois, la famille Gorry détenait une villa en bord de Bassin, la villa Flou de Pin à Claouey. Vers 1925, la distillerie est transformée en scierie par la famille Goubet (Louis puis Charles en 1957). La scierie, qui produit des planches de construction, est en pleine activité en 1950-1960. Elle ferme en décembre 1988.

> Editeur : Boissin
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Carte n° 903 - 71/74
LEGE
vers 1925

> Centre/maison-chasseloup
Le bureau de Poste (maison Chasseloup)
Sur la place de l'église Saint Pierre de Lège, la maison Chasseloup (actuelle médiathèque municipale) que l'administration louera pour y installer le premier bureau de poste de Lège. En 1928, le service des Postes quitte la maison Chasseloup et s'installe juste en face (dans l'actuel bâtiment de la police municipale).

> Editeur : Gourdin
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Carte n° 2185 - 72/74
LEGE
vers 1925

> Médoc/gare
La gare de Lège
La gare de Lège est inaugurée le dimanche 19 octobre 1884. Elle est située sur la ligne de chemin de fer qui ceinture les landes de Gironde, de Lesparre à Saint-Symphorien via Lacanau et Facture, d'où le fait qu'elle est construite si loin du bourg (1 km). L'essentiel du trafic était du fret pour le transport de produits forestiers vers la papeterie de Facture. La gare ferma au trafic des voyageurs en 1952 et aux marchandises en 1954, victime de la concurrence de la route [Source: Wikiwand].

> Editeur : Boissin
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Carte n° 1218 - 73/74
LEGE
vers 1925

> Ignac/villa-ld
La villa Despujol
La villa Despujol photographiée en 1925 par l'éditeur Marcel Gourdin¹ de Bordeaux. Cette villa se trouve au début de la route d'Ignac (du nom de l'ancien village aujourd'hui disparu). Non loin de la boucherie Despujol

________________
1. Marcel Gourdin était un éditeur de cartes postales installé au 16 rue Paul Bert à Bordeaux.

> Editeur : Gourdin
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Carte n° 1630 - 74/74
LEGE
vers 1930

> Ignac/commerces/chez-patate
Restaurant Ducamin
Le bureau de tabac de Jean Gassian de l'entrée sud du bourg de Lège est transformé par les époux Ducamin en restaurant. La véranda nord est en partie fermée par une verrière et la villa "Mon Rêve" à gauche est transformée en salon de coiffure. Cela deviendra une discothèque pendant les années 1990 (Le fidji puis le Pacific Paradise) qui fut rasée pour laisser la place au terrain vide d'aujourd'hui. Cela ne vous rappel-t-il pas la destinée d'une autre discothèque de la commune?

> Editeur : Senellier
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